Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

28 janv. 2013

Un samedi soir

Un samedi soir, je suis seul à dîner. Je textote ce gars pour lui demander s’il est d’accord pour venir me voir chez moi. Il accepte mon invitation malgré qu’il a roulé toute la nuit précédente pour rentrer de vacances. Il arrive vers 21h. Je le fais monter dans ma chambre. Il enlève son manteau et se laisse tomber sur mon lit sur le dos. Je m'allonge à coté de lui.

Je crains qu’il s’endorme vu qu’il est très fatigué. Je lui caresse le T-shirt et le pantalon. Une bosse commence à se former dans le pantalon. Il tombe le pantalon sur les chevilles mettant au jour un boxer rayé gris-rouge-blanc. Je continue à caresser sa bosse à travers le boxer. Je vois aussi qu’il a très bien bronzé parce qu’il a une belle marque de maillot. Un court instant après, je baisse moi-aussi son boxer et j’approche ma bouche pour effleurer son gland de ma langue. Je reste un moment sur son gland lisse. Puis, ensuite, j’ « embouche » ce gland tout en passant vicieusement ma langue sous ce gland. Il semble très bien apprécier ce que je lui fais. Puis, ensuite, je continue à enfoncer ce sexe durci dans ma bouche jusqu’à ce que mes lèvres effleurent son pubis entretenu court. Je me retire de sa bite. Il me dit que je m’améliore.

Il se couché sur le coté. Il me donne ce que je désire depuis quelques temps. Je lui ai avoué que je rêve de lui faire un anulingus. Alors, j’écarte de mes mains et découvre un joli petit trou avec un petit peu de poils courts. Je lui lèche pendant plusieurs minutes. Ensuite, je lui glisse doucement un doigt dans ce petit trou serré lubrifié de ma salive. Je reprends ma suce pendant un moment. Il se branle un petit peu hors de ma bouche.Sentant venir, il me supplie de me rapprocher. Je le ressuce deux trois allers-retours le long de sa belle et épaisse bite. C'est, pour lui, l’excellent moment de la libération de l’extase. Je laisse glisser ce jus plein de vitamines au fond de ma gorge pour me délecter de toute sa délicieuse crème d’amour.

Il se rhabille et repart en me faisant promettre de ne rien dire sous peine de ne plus se revoir.

21 janv. 2013

Remise en forme

C’est la fin de journée. Je m’emmerde chez moi. J’avais vu une pub dans un journal gratuit qu’une salle de remise en forme proposait une séance de découverte gratuite. Je décide alors d’y aller. Je prends mon survêtement et un nécessaire de toilette et me déplace vers cette salle. J’entre et me dirige vers l’accueil où est assis un beau mec châtain aux cheveux courts, la trentaine, sportif. Il dit s’appeler Nicolas. J’explique donc à Nicolas que j’ai vu une pub pour une séance d’essai gratuit dans un journal gratuit. Il m’avertit qu’il allait très bientôt fermer les portes.
Nicolas me dit que, dans la salle, il y a encore un mec qui finit ses exercices et qui pourrait être, dans l’espace d’un instant, quelqu’un de très gentil et qui saura m’aider à trouver le bon exercice à faire.

Nous nous dirigeons vers cette grande salle où se trouvent de nombreux accessoires de musculation. En chemin, Nicolas me rassure en me disant que le mec qui est encore là est très sympa et met à l’aise ceux qui fréquentent ce lieu. Je réponds à Nicolas que je serais enchanté de faire sa connaissance. Nicolas me donne le nom de ce gars. Il s’appelle Gilles. Arrivés dans cette salle, je découvre un jeune mec, environ vingt-cinq ans, brun, d’une taille moyenne, avec une toison pectorale brune parsemée sous un débardeur de coton blanc. Nicolas nous présente l’un à l’autre. Il sait que, parfois, Gilles reste après la fermeture des portes en compagnie de mecs désireux de faire de l’exercice d’un genre spécial. Nicolas part après avoir expliqué les consignes pour les clés. Gilles et moi restons seuls livrés à nous-mêmes.

Gilles me propose de se mettre à l’aise. Il commence par enlever son débardeur blanc et son short. Il porte un jockstrap blanc. Je déduis qu’il est excité en voyant une très belle bosse dans ce jockstrap.

Je vois Gilles tout excité mais silencieux. Il m’incite à faire pareil sauf que moi, je n’ai qu’un boxer noir. Mon coach d'un soir fait tout ce qu’il peut pour que je me sente bien à l’aise et que, moi je me déshabille. Il est assis sur le banc pour faire des abdos. Il prend mes mains et les fait parcourir sur ses épaules, ses pecs, ses abdos. Il me raconte qu’il vient souvent à la salle pour travailler tout ça. Je le félicite sur ses efforts. Je lui demande alors comment fait-il pour en arriver là. Gilles, au lieu de se perdre en explications, s’allonge sur le banc et commence une petite série d’abdos. Tout à coup, Gilles me propose de m’asseoir sur son bas-ventre pour lui faciliter son travail. Je m’exécute bien volontiers en m’asseyant un peu maladroitement sur ses abdos. Il me corrige en me prenant le bassin et me placer sur cette fameuse bosse. Les deux épaisseurs de tissus séparent nos deux peaux. Je sens bien belle bosse imposante et bien dure sous mes fesses. Il reprend alors une série d’abdos.

La sensation de nos deux tissus le dérange encore. Gilles m’a fait lever et enlève son jockstrap. Il m’a aussi surpris en baissant si rapidement mon boxer que je n’ai pas pu réagir pour l’en empêcher. Au fond de moi, je voulais le voir nu s’entraîner. En enlevant son jock, son sexe surgit tel un diablotin sortant de sa boite tellement Gilles bande si dur. Gilles m’annonce qu’il aimerait que je lui rende un service en appuyant de tout mon poids sur son bas-ventre. Et pour cela, il fallait que je lui fasse un petit plaisir en lui suçant afin de lui lubrifier son sexe de ma salive. J’accepte bien volontiers de lui rendre cet agréable service. Bien que un peu surpris de cette alléchante proposition, j’accepte. Je savais, bien avant cette journée, qu’il s’y passe des choses le soir dans cette salle. Gilles s’assoit sur le banc, les jambes écartées. Je me mets à genoux entre ses cuisses pour lui faire ce plaisir si particulier. Je pose alors mes mains sur chacune de ses cuisses musclées. Je les caresse en remontant vers ce sexe pointant midi.

Je m’approche de plus en plus de ce sexe tendu vers le ciel. Je vois que Gilles se tond très court le pubis et se rase les testicules. Je lui lance un regard qui en disait long. J’entrouvre ma bouche à l’approche. Je n’attends plus que Gilles pose son gland sur mes lèvres. Je n’ai pas attendu très longtemps. Gilles appuie sur la base de son sexe ce qui a eu pour effet de baisser le gland lisse sur ma langue. Je passe donc ma langue doucement dessous, puis sur son gland. Il soupire de plaisir. Il apprécie ce que je lui fais. J’ouvre davantage mon orifice buccal pour accueillir ce roseau. Une fois dans ma bouche, j’essaie de faire tourner ma langue sur ce gland humide de désir. Je passe ensuite ma langue sur sa hampe. Je savoure ce moment. J’aspire ses boules l’une après l’autre. Gilles me demande de changer de position. Il me propose de nous mettre en 69 pour qu’il me lubrifie le cul. Il me l’a dit d’une telle manière que je ne peut qu’accepter cette offre si excitante. Il me demande de s’allonger sur lui en lui présentant mon œillet tout près de son visage. Je m’allonge si près que je ne suis pas loin de penser que je suis assis sur sa bouche. Je sens ses mains se poser sur moi, puis ses doigts écartant mes fesses mettant au jour mon œillet rasé. Je sens alors sa langue aller et venir sur le long de ma raie. Il s’arrête sur mon trou. Et commence son travail de préparation sur ce qu’il allait suivre. Je crois dépérir tellement Gilles s’applique si bien que j’en déduis qu’il était un pro en ce domaine.
Il ne m’arrive que, très rarement, je subis un tel supplice si délicieux. Gilles sait très bien y faire, le bougre. Il est vrai qu’avec une telle bite, il faut bien que Gilles sache bien lubrifier et chauffer l’orifice que je lui présente, sinon, je risquerai d’avoir des douleurs anales désagréables.

Au bout d’un moment de ce 69, Gilles me lance d’un ton sec de me lever et de présenter mon cul sur le bout de son gland lisse et luisant de ma salive. Je m’exécute. Je me mets donc en position face à lui. Son gland touchait mon œillet. Il prend fermement mes épaules de ses mains et d’un geste décidé, appuie pour que je m’embroche entièrement sur ce champignon.

Il m’explique que, pour que ses exercices soient bénéfiques, il faut je m’assoies bien à fond sur sa bite et de faire peser de tout mon poids sur son bassin. Gilles met ses mains derrière sa tête et commence une nouvelle série d’abdos. Je sens en moi bouger sa tige. Il m’a bien précisé que je ne dois, sous aucun prétexte, bouger mon cul. J’obéis car je crains qu’il m’engueule. Il fait sa série. Il arrive à la huitième ou neuvième. Il me rappuie virilement sur les épaules et procédait à la dixième. La dixième exécutée, il me remercie en me disant relever et me faisant allonger sur ce banc. Il me pénétre de nouveau par derrière. Cette fois-ci, ce n’est pas pour une série d’exercices quelconque. Cette dernière série lui a mis les valseuses en ébullition et il lui faut évacuer cette pression. Après trois ou quatre va-et-vient, je sens Gilles se raidir et ses magnifiques cuisses trembler. Il est bel et bien en train de m’inonder le fondement.

Dès qu’il eut fini, Gilles se retire doucement et me donne une claque sur chaque fesse en me disant que je peut aller à la douche et partir sans me retourner.

16 janv. 2013

Au match de foot

Depuis six mois environ, je vais assister aux matches joués à domicile par l’équipe seniors locale. Je me mets près de la rambarde entourant le terrain. Dans cette équipe, je remarque un de leur joueur, le numéro six en l’occurrence. C’est un mec paraissant plus grand que moi, des cheveux châtains clairs, des yeux marron. Sous le maillot, je devine des abdos et des pecs bien dessinés. Ce mec a aussi de très belles cuisses. Je vois aussi qu’il a un brassard de capitaine d’équipe aux couleurs du club.

Pendant les matches, un autre joueur de cette équipe semble bien jouer mais un peu maladroit parfois. Il fait presque exprès de faire sortir le ballon du terrain lorsqu’il arrive à ma hauteur. Juste avant de la remettre en jeu, ce joueur me fait un clin d’œil. Ce mec est blond aux yeux bleus, cheveux hyper courts, ses pecs et ses abdos sont bien dessinés et un peu plus développés que ceux du capitaine. Sur chacun de ses tétons, un bout de sparadrap recouvre un petit anneau en piercing.

À force de me voir assister aux matches, le capitaine m’invite aux entraînements qui se passent en semaine. Au bout de plusieurs séances, le capitaine me confie le ramassage des ballons dans les sacs et m’invite aussi à le suivre aux vestiaires. Pendant le trajet, il me dit qu’il s’appelle Sébastien. Il me questionne de mon intérêt sur son équipe. Je n’ose pas répondre. Je rougis même. Arrivés aux vestiaires, Sébastien me dit que je peux, moi aussi, rentrer avec le reste de l’équipe. Il reste une toute petite place tout près de la porte des douches. Il débriefe son équipe. Dix bonnes minutes plus tard, il donne le signal de la douche. Il fait signe au « joueur maladroit ». Ce joueur se nomme Bruno. Bruno et Sébastien ne se pressent pas pour se déshabiller pour la douche.

Pendant que les autres prennent leurs douches, Sébastien commence à enlever son maillot doucement tout près de moi. Puis, d’une main, il se pince doucement son téton gauche puis le droit. Puis, c'est au tour de Bruno d’enlever son maillot. J’avais bel et bien deviné les petits piercings sous le maillot de Bruno. Lui aussi, il se pince et joue un peu avec ses tétons qui commencent à durcir. Tous les deux restent torses nus un bon moment. Je peux admirer leurs torses qu’ils m’offrent en attendant que les autres finissent de se laver et partir.

Je m’inquiète un peu. Je crains qu’une fois l’équipe partie, le gardien oublie de faire un dernier tour avant de fermer les portes et de nous enfermer. Sébastien, le capitaine, me rassure en me disant qu’il a emprunté le double des clés au gardien. J’en déduis que ce n’est pas la première fois qu’il emprunte les clés.

Une fois que le reste de l’équipe est sortie des douches, puis des vestiaires, Sébastien et Bruno continuent leur effeuillage dans le but de me chauffer. L’atmosphère devient plus chaude, d’une part, par le spectacle que m’offrent ces deux magnifiques joueurs, et d’autre part, par la vapeur chaude qui se dégage des douches collectives toutes proches. Sébastien va vérifier la fermeture de la porte d’entrée des vestiaires par le gardien afin d’être sûr de ne pas être dérangés par des opportuns et revient.

Sébastien enlève son short en ondulant du bassin. Bruno en fait de même. Je découvre alors que Sébastien porte un jockstrap blanc à ceinture large qui lui moule hyper bien la bite et remonte bien ses fesses imberbes. Bruno, lui, ne porte rien sous son short. Le sexe de Bruno pointe midi. Il est imberbe du pubis. Ses testicules rasés sont comme des gros pruneaux réhydratés. Sébastien me propose si je veux prendre une douche avec eux. Il renchérit en me disant qu’il est partant pour que je l’aide à se doucher, parce qu’il a du mal à atteindre certains endroits du dos. Bruno me dit aussi la même chose, qu’il ne peut pas lui aussi se laver le dos. En entendant une telle proposition si alléchante, je ne peux qu’accepter. Il est bien difficile de ne pas résister. Je me déshabille bien volontiers.

Bruno rentre le premier dans cette salle en faïence blanche et au carrelage anti-dérapant, pose le flacon de shampoing douche à terre et fait couler l’eau. Sébastien quitte son jockstrap et me prend par la main et me fait rentrer sous la douche. Sébastien bande aussi dur que son camarade Bruno. Sébastien a une toison pubienne entretenue courte. Sans m’en apercevoir, je commence à perler. Sébastien me dit qu’il a envie que je le lave de la tête aux pieds, y compris les parties intimes. Bruno veut aussi que je le lave entièrement. Je ne sais pas par qui je vais commencer. Je décide alors de commencer par Bruno. Bruno se place sous la douche, se mouille partout. Bruno se tourne face au mur. Il ouvre le flacon et me le tend. Je me tiens face à Bruno avec le flacon. Sébastien, lui, se tient collé derrière moi, son sexe durci remonté dans ma raie des fesses. Il ne fait rien que de se coller à moi. Ses mains sont posées de chaque coté de mon bassin.

Je presse le flacon au dessus de la tête de Bruno. Je frotte sensuellement le crâne de Bruno. Je continue par son cou, ses épaules, ses bras. Sébastien a l’idée de prendre aussi le flacon et de me laver aussi. Il presse donc le flacon sur ma tête et commence à me laver les cheveux. Je continue le lavage de Bruno par le frottage des omoplates en se dirigeant doucement vers le bas de son dos. J’arrive vers ses lombaires. Je reprend alors un peu de shampooing douche dans ma main. Je caresse alors les fesses bien rondes et fermes de Bruno. J’entreprends de nettoyer sa fente. Elle est, comme le reste, épilée. De deux doigts, je nettoie son anus. Il ne bronche pas. Bruno se retourne et me présente l’autre coté pour que je le lave tout aussi consciencieusement. Les mains pleines de shampooing, je lui caresse ses pectoraux piercés, ses abdos bien durs. Vient le moment de laver sa bite. Je reprends une fois de plus un petit peu de shampooing et caresse sa bite et ses couilles rasées. Je lui affirme que j’ai fini pour lui et que c’est au tour de Sébastien de se faire laver par mes soins. Bruno ne se rince pas tout de suite.

Bruno prend la place de Sébastien dans mon dos en plaçant sa bite sur ma raie. Sébastien se place face au mur. Je prends du gel douche et en presse sur la tête de Sébastien et commence le lavage. Je descends progressivement vers les épaules, les bras. Bruno me lave ma raie. Je reprends la progression du lavage de Sébastien. J’arrive à ses fesses. Elles sont aussi fermes que celles de Bruno. Je nettoie l’anus duveteux de Sébastien. Sébastien se retourne. Je continue à laver Sébastien. Je lui nettoie les pecs et ses abdos tablettes. Avec ce qu’il me reste de produit, je masturbe Sébastien pour nettoyer cet engin. Nous décidons tous les trois de nous rincer en même temps.

Sébastien et Bruno bandent toujours aussi dur. Ils ne peuvent pas rentrer chez eux dans cet état. Il faut bien que je m’occupe d’eux. J’ai bien une idée. J’ai donc deux sexes à faire ramollir. Plusieurs scénarios se présentent. Je choisis celui qui me plait le mieux. J’annonces alors à Sébastien que je le suce pendant que Bruno me sodomise. Ils acceptent le marché. Sébastien se met devant moi et me fait sucer son sexe et Bruno m’enfourche doucement le cul et commence à me le labourer virilement. Ces deux joueurs se font plaisir.

Sébastien s’enfonce si bien dans le fond de ma bouche qu’il martèle la gorge. Il fait quand même attention de ne pas me faire mal. Son sexe est si doux qu’il glisse très bien entre mes lèvres. Bruno me sodomise merveilleusement bien. Je suis forcé de constater que je ne suis son premier mec qu’il baise. Il sait si bien se servir de son sexe. Je ne peux pas voir la tête de Sébastien. Sébastien et Bruno se fixent des yeux mutuellement pour permettre de retarder le moment fatidique de l’explosion. Au bout d’un moment, Sébastien me prend la tête et me force la bouche tandis que Bruno me saisit fermement le bassin. Ils éclaboussent de concert mon intérieur. Sébastien s’épand au fond de ma gorge, et, Bruno pousse bien fort au fond pour m’inonder mes entrailles de sa crème.

Ils se retirent ensemble.

Sébastien refait couler la douche. Bruno et Sébastien se placent ensemble sous cette douche pour rincer cette sueur bestiale. Je prends la douche d’à coté. Je vois alors ces deux mecs s’embrasser langoureusement. L’image de ces mâles se roulant un patin m’excite au plus haut point et me fait bander. J’entreprends alors de me masturber. Je suis si excité que je sens rapidement monter ma sève. Tout à coup, un geyser jaillit de mon sexe.

Une fois redescendus de nos nuages, nous nettoyons le sol mouillé de mousse et de mon sperme. Nous sortons de la salle de douche et nous nous rhabillons puis sortons des vestiaires. Sébastien donne un tour de clé dans la serrure et en passant devant la maison du gardien, dépose la clé dans la boite aux lettres. Une fois fait, Sébastien me fait promettre d’être muet comme une carpe sur ce qu’il vient de se produire. Sébastien me dit que je pourrais revenir aux entraînements quand je voudrais.

Une bonne quinzaine de jours après, je retourne au stade pour assister à l’entraînement de Sébastien et de Bruno.

Comme à l’accoutumée, depuis quelques séances, je m’occupe à ramasser les ballons en fin de séance. Je suis Sébastien et le reste de l’équipe aux vestiaires. Bruno n’est pas présent. Je m’en inquiète auprès de Sébastien qui me répond que Bruno est alité avec une bonne grippe carabinée. Dans cette équipe, je n’ai pas remarqué qu’il y a un très joli Rachid. Rachid a la trentaine, cheveux noirs, de très beaux pecs et un short apparemment bien rempli. Je sais que Rachid est hétéro mais n’est pas contre se faire un cul de mec après l’entraînement.

Sébastien a un peu parlé de moi à Rachid quelques jours auparavant puisqu’ils se voient en dehors.

Une fois de plus, le capitaine Sébastien fait son débriefing puis le signal de la douche tout en clignant d’un œil en direction de Rachid. Comme avec Bruno, Sébastien et Rachid ne se pressent pas pour se déshabiller.

Sébastien et Rachid restent torses nus le temps que les autres sortent. Rachid a une fine rangée de poils noirs courts qui descendent sous le short. Ses pecs sont adorablement superbes et glabres. Rachid vient s’asseoir à coté de moi et fait contracter ses muscles pectoraux. Il commence à m’exciter grave et ça me plait beaucoup. Rachid me questionne sur ce que je fais dans la vie.
Je pose une main sur la cuisse de Rachid qui se laisse toucher de la sorte par un autre mec.

Pendant ce temps-là, tous les autres finissent leurs douches un à un. Le gardien fait un tour vite fait pour s’assurer que tout le monde parte. Une fois les douches vidées, le gardien refile les clés à Sébastien. Le gardien part et laisse Sébastien refermer à clé derrière lui. Il éteint la lumière du couloir. La serrure fermée et la lumière du couloir éteinte, je prends les devants et j’embrasse par surprise Rachid sur la bouche tout en caressant son short dont la bosse augmente de volume à vue de manière très significative. Sébastien finit de se déshabiller. Il enlève sous mes yeux son short laissant à jour son jockstrap blanc. Rachid enlève à son tour son short. Je découvre que Rachid porte, lui aussi, un jockstrap mais de couleur noire. Sébastien me demande si je suis enfin prêt pour prendre la douche. Je réponds par l’affirmative. Sébastien et Rachid m’aguichent en quittant leurs jockstraps sous mon nez. Ils m’aident à me dévêtir et m’emmène par la main dans les douches. Sébastien pose le flacon de shampoing douche à terre et rallume la douche. Il règle la température et se place dessous. Rachid en fait autant. Je vois deux corps musclés et mouillés. Ce que je vois est très beau. Sébastien dit à Rachid de rester face au mur sous la douche. Sébastien se colle derrière moi. Je me plie en deux pour ramasser le flacon en prenant bien soin de frotter mon cul sur le manche de mon capitaine adoré. Je presse le flacon sur Rachid qui se laisse faire. Je le lave avec un grand plaisir. Je lui nettoie le dos et les fesses. Puis, sans le faire retourner, je lui lave les pecs, les abdos bien durs, et ... ses dix-huit centimètres circoncis. Je suis si impressionné par la taille de son sexe que je prends mon temps pour le nettoyer. Je fais attention quand même pour qu’il garde son sang froid. Sébastien et Rachid changent de place. C’est autour de Sébastien de se faire laver par mes soins. Je presse de nouveau le flacon sur le haut du dos de Sébastien en prenant soin de me frotter sur le bâton durci de Rachid. Rachid a un sexe bien droit et circoncis qui pointait midi. Ses testicules sont rasés. Ses poils pubiens sont bien entretenus courts.

Rachid, Sébastien et moi se rincent et fermaient les robinets. Sébastien m’invite à s’approcher de lui. Il est bien excité. Il me fait bien comprendre qu’il veut que je m’occupe de lui. Au fond de moi, j’ai attendu impatiemment qu’il me le dise. Je m’accroupis et commence à lui effleurer de ma langue ses testicules imberbes. Rachid me regarde faire. Ça l’excite grave. Il a envie aussi que je lui lèche ses boules. Il se rapproche face à Sébastien. Leurs glands se touchent. Je laisse un instant les deux paires de boules pour m’attarder sur les deux bouts brillants de désir. Je décide sans prévenir d’emboucher le sexe de Rachid. Je m’applique à ne pas le faire monter en température trop vite. J’ai une autre idée pour faire plaisir à cet arabe. Sébastien me réclame aussi. Je m’applique aussi à ce que Sébastien n’atteigne la « zone rouge » trop rapidement.

Je m’affaire de nouveau sur le beau Rachid. Son sexe est si bon que je peux le prendre en entier presque sans problèmes de régurgitation sous les yeux ébahis de mon capitaine d’équipe. Sébastien me tourne la tête pour que je lui rende la pareille. Je réussis tant bien que mal à avaler celle de Sébastien. Séb se retire subitement de ma bouche, me fait lever et me plier en deux. Il se place derrière moi et crache une bonne rasade de salive sur mon anus. Il me pénétre en me tenant fermement le bassin. Le claquement de mes fesses résonne fort dans la pièce des douches. Pendant que Sébastien me sodomise royalement, je ressuce Rachid. Par deux ou trois reprises, je reprends Rachid au fond de ma gorge. Sébastien explose dans mes entrailles. Rachid a une envie grandissante de me sodomiser aussi. Sébastien se retire en douceur. Puis, Rachid se place derrière moi, crache lui aussi et glisse si facilement et profondément dans mon orifice anal. Il fait quelques allers-retours et s’épand dans mon rectum en vociférant quelques mots arabes tant sa jouissance est parfaite. Rachid se retire très lentement afin de permettre de bien sentir les dix-huit centimètres sortir de mon fourreau. Une fois dehors, Rachid me demande de le ressucer pour bien le nettoyer. Nous reprenons tous les trois une dernière et rapide douche. Je serre mes sphincters anaux pour garder ce que j’ai en moi. Nous nous rhabillons sans perdre de temps. Je remercie Sébastien et Rachid pour ce délicieux moment. Je veux rentrer au plus vite chez moi pour récupérer ce précieux cocktail de vitamines. Pendant que je m’habille, Sébastien me fait renouveler sa confiance pour garder ce secret. Je lui réponds qu’il sait si bien se servir de son sexe, que je n‘ai aucune envie que ça s’arrête.

~~~ FIN ~~~