Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

25 mars 2013

Dernière nuit d'internat

Deux nuits avant la fin de l’année scolaire, je décide de relire le petit mot qui m’a été laissé sous ma porte de chambre, il y a une bonne dizaine de jours environ.

Ce mot dit :
« Monsieur NICOLAS, J’ai assisté à la nuit de Théo. Depuis cette fameuse nuit, je rêve de subir le même sort que lui. Je suis encore jeune, mais au fond de moi, j’aimerais devenir, à mon tour, la salope de plusieurs mecs.
Je rêve aussi de faire l’amour avec un homme plus mûr que moi qui sache bien me faire grimper aux rideaux.
Pourriez-vous, je vous en supplie, m’organiser ça ?
Merci beaucoup Monsieur NICOLAS.

(Signé : Aurélien) »

À la relecture de ce mot, je me dis qu’Aurélien ne peut pas avoir écris ces mots-là puisqu’il est si réservé durant l’année. Et pourtant, c’est bel et bien lui qui les a écrit parce que j’ai reconnu son écriture.

J’accepte alors d’accéder à sa demande si particulière. Je me pose l’épineuse question pour savoir qui est beaucoup plus âgé que lui dans ce lycée. Je dois trouver rapidement cette personne qui accepterait de satisfaire sexuellement Aurélien au cours de la nuit qui suivait et qui serait, de surcroît, la dernière nuit de l’année avant les grandes vacances.

Après réflexion, je trouve. C’est François, l’ouvrier d’entretien de ce lycée. Il a la trentaine bien tassée. Très peu de personnes dans ce lycée savent que François est gay. Pour l’administration, il est hétéro et était logé chez une amie au courant de sa sexualité. Par ces premières chaleurs estivales, François travaille presque tout nu sous sa côte bleue. J’ai remarqué très récemment, lors d’une intervention pour changer un néon d’un couloir, qu’il a un quartier de lune et une étoile entre les deux omoplates. Je l’appelle sur son poste. Je lui explique que j’ai besoin de lui en soirée pour un motif non officiel.

Le dernier soir, au réfectoire de l’établissement, j’aperçois Aurélien à une table un peu à l’écart. Je prends, moi aussi, mes dîners dans cette salle spécialement réservée aux internes. À un certain moment du dîner, je me dirige en direction d’Aurélien et m’assois à coté de lui. Je lui demande pourquoi il n’est pas avec les autres. Il me répond que c’est la dernière nuit et qu’à la rentrée, il ne verrait plus son camarade de chambre avec qui il se sent bien. Il n’a pas pu avouer à Théo au cours de l’année qu’il est tombé amoureux secrètement de lui … et de sa salopitude©.

Je demande à Aurélien s’il se souvient du petit mot qu’il m’a glissé sous ma porte il y a dix jours environ. Il me répond par un « Oui ». Je lui fais comprendre discrètement que je me suis occupé de sa demande et que son tour arrive très vite. Ce n’est plus qu’une question d’heures. Je ne lui dévoile que les grandes lignes du déroulement. Je lui dit également que je me suis chargé de sa demande spéciale et que ce sera sa surprise finale. Cette surprise sera mise au jour une fois la « première partie » exécutée. Aussitôt, le visage d’Aurélien s’illumine de bonheur.

Vient le moment de débarrasser les tables. Nous devons simplement empiler la vaisselle sale en bout de table pour faciliter le personnel des cuisines le lendemain matin. Nous montons chacun dans nos chambres respectives. Pendant que nous dînons, François est monté et attend dans ma chambre puisqu’il a un trousseau de clés dont un passe pour pouvoir accéder à presque toutes les portes. Il s’est mit à l’aise sur mon lit.

Le moment solennel du coucher pointe son nez. Je fais un tour d’inspection sur tout l’étage pour vérifier que tout le monde est en train de se coucher. Je reviens à ma chambre. Je me déshabille entièrement et m’assois quelques minutes sur mon lit. Je veux écouter si ces internes se couchent vraiment. François est nu aussi. Nous faisons que de nous caresser tendrement.

Au bout de vingt minutes environ, je me relève pour aller à l’armoire. J’ouvre la porte de l’armoire, puis le cadenas de la cache secrète où se trouvent mes accessoires. Je sors de nouveau le boxer-gode en latex épais que j’avais l’autre soir pour la « Soirée Théo ». J’en sors aussi le flacon de gel lubrifiant. J’ai changé de gel lubrifiant depuis Théo. Celui-ci a des propriétés lubrificatrices de plus longue durée. Je presse le flacon de gel sur le gode intérieur du boxer. J’enfile aussitôt ce boxer en latex. Comme pour la dernière fois, je m’assure que j’avais bien enfoncé ce gode dans mon cul.

Depuis la dernière soirée, j’ai acheté un gode à deux têtes de couleur chair d’une trentaine de centimètres environ mais aussi un gode épée de couleur noire. J’ai bricolé une ceinture sur laquelle j’ai attaché deux anneaux élastiques. Ces anneaux sont destinés à faire tenir des accessoires sur cette ceinture. Cette ceinture, donc, ressemble étrangement aux ceintures que portent les policiers américains. La petite sacoche normalement destinée aux menottes sert à l’emplacement du flacon de gel lubrifiant. Je passe cette ceinture autour de la taille. Je place les deux godes dans chacun des anneaux à gauche sur la ceinture et le gel dans la sacoche derrière et à droite. Contrairement à la précédente fois, je ne prends ni short, ni T-shirt amples. Je sors de ma chambre, vêtu du boxer latex, de la ceinture et de mes chaussettes. Je prie François d’attendre encore un peu. Je lui juste lèche son anus quelques secondes pour le faire patienter. Je ferme la porte en laissant François seul.

Je m’avance sans bruit et sans allumer les lumières. Je chemine vers la chambre de Karim et Benoît. J’ouvre leur porte et je les découvre en train de s’embrasser et d’une main, ils se branlent mutuellement. Je les prie de s’arrêter leurs bécots et de me suivre nus dans le couloir. Ils ont tout de suite saisi le but de ma visite. Ils sortent en silence dans le couloir. Nous reprenons tous les trois la progression vers la chambre de Farid et Félix. J’entre et je vois Farid le nez entre les fesses de Félix. Je les stoppe net. Ils se retournent et, en me voyant, harnaché de la sorte, Ils ont tout de suite deviné pourquoi je les ai interrompus. Ils se lèvent nus et vont dans le couloir rejoindre Benoît et Karim qui ont repris de plus belle leurs bécotages. Je les prie sèchement de stopper.

Nous cinq, continuons de marcher sans aucun bruit vers la chambre de Théo et d’Aurélien.

Arrivés devant la porte, nous stoppons. Sans que j’aie eu à leur dire, Félix branle Karim. Karim branle Benoît. Benoît branle Farid. Je prends l’initiative de branler Félix puis nous entrons dans cette chambre.

Théo ne réussit pas trouver le sommeil. Il tourne sur son lit. Il nous voit nus derrière lui. Il dresse son cul gourmand en l’air pensant que nous sommes venus pour lui. Par contre, Aurélien, lui, dort très bien. Il est couché sur le ventre sur son lit. Je m’approche en silence vers Théo. Je lui chuchote à l’oreille que nous venons pour Aurélien. Je lui explique qu’il m’a demandé, il y a quelques jours, qu’on s’occupe de son petit cul vierge et duveteux. Je propose alors à Théo de se lever et d’aller rejoindre Aurélien sur son lit et de commencer à le mettre en condition en lui faisant un bon léchage de son anus. Théo accepte très volontiers cette proposition très alléchante. Théo se place derrière Aurélien et caresse tendrement les épaules, les omoplates, le dos, le bassin et, pour terminer, ses fesses. Théo approche sa langue experte tout près de l’anus d’Aurélien. Théo s’applique si bien qu’Aurélien semble prendre du plaisir à ce que Théo lui fait car nous commençons à entendre des petits gémissements de plaisir venir d’Aurélien. Théo alterne crachats de salive et léchage de son trou de salope.

Théo a une idée en voyant que je possède un double gode à la ceinture. Il a une irrésistible envie de jouer avec. Théo, la petite salope, fixe cet accessoire d’une quarantaine de centimètres qui pend à ma ceinture. Je saisis ce qu’il veut. Théo fait se lever et fait plier Aurélien en deux au dessus de son lit. Théo vient vers moi et caresse le double gode. Il me lance un regard vicieux et très intéressé pour m’emprunter cette chose. Il le décroche de l’anneau en caoutchouc de ma ceinture. Je prends aussitôt le flacon de gel lubrifiant que j’ai dans la petite sacoche dans mon dos. J’en presse une belle grosse noix sur une des deux extrémités. Théo l’étale grossièrement sur une moitié. Il reprend un court instant une lèche du trou d’Aurélien. Théo, de deux doigts, écarte les deux lobes. Il y pointe le bout du gode puis il y pousse lentement mais sûrement jusqu’à la moitié dans son cul duveteux. Il y reste un instant. Ensuite, Théo fait faire à ce gode quelques mouvements d’allers-retours. Théo me fait un clin d’œil et se penche, lui aussi, en avant en tournant le dos à Aurélien. Je décide alors de me déplacer auprès de Théo avec le flacon de gel. Je presse une autre belle noix de gel sur l’autre extrémité. Théo en étale sur l’autre moitié du gode. Il se l’enfonce tout seul d’un seul trait comme assoiffé de recevoir ce gode. Il s’y enfonce si bien qu’à un moment donné on ne voit plus le double gode. Les deux paires de fesses se rejoignent. Théo commence à remuer du bassin et Aurélien aime très bien ça.

Les dix-sept centimètres de Théo durcissent. On peut y voir perler son gland. Théo enleve en vitesse le double gode de son cul et de celui d’Aurélien. Il glisse d’un seul coup sa bite entière dans les entrailles bien lubrifiées de son colocataire. Théo fait quelques mouvements et lâche prise très rapidement. Il se retire doucement une fois fini. Aurélien aime trop bien et en veut encore. Aurélien désigne Farid d’un doigt et lui faisait signe de venir avec lui. Il lui fait s’allonger sur le dos sur le lit. Aurélien s’enselle sur les vingt-deux centimètres épais de cet arabe. C’est Aurélien qui, lui-même, contrôle la pénétration. On voit bien qu’il aime se faire enculer. Il cache bien son jeu le discret Aurélien. Il ne laisse pas paraître durant l’année qu’il est, tout comme Théo, une vraie petite salope au lit. Aurélien commence à dessiner des cercles avec son bassin tout en descendant et montant sur cette grosse tige. Je suis surpris et estomaqué, comme le reste de cet internat, de voir la facilité déconcertante d’Aurélien de se prendre de gros calibres dans son cul. Toujours ensellé sur Farid, il désigne ensuite Karim du doigt. Karim s’approche avec ses dix-huit centimètres en avant de la rondelle déjà encombré par Farid. Karim pousse facilement et entièrement à l’intérieur. Les deux arabes stoppent une petite minute puis reprennent leurs mouvements. Ils donnent de concert leurs coups de grâce. Ils déposent en même temps leurs abondantes doses de jus au fond du rectum. Karim se retire puis c’est au tour de Farid de se retirer. Pour Farid, il lui faut qu’il reste dedans et faire basculer Aurélien sur le dos afin que les doses ne prennent pas la poudre d’escampette au dehors. Aurélien sur le dos, Farid se retire très lentement. Aurélien s’introduit un doigt pour se délecter d’un extrait de toutes ces doses de bon jus qu’il a en lui. Il semble aimer beau le goût du sperme tout chaud. Manifestement, il en veut encore davantage.

Il montre maintenant Benoît du doigt. Benoît, ses dix-neuf centimètres imberbes en avant, s’avance vers la cible. Aurélien est là, sur son lit, les jambes en l’air. Benoît pointe l’œillet et s’enfonce facilement comme dans du beurre.

Benoît reste dans ce trou humide plusieurs minutes puis tourne doucement en faisant de larges cercles et d’avant en arrière. Il se retire, puis, sans crier « gare », il renfonce son pieu de plus belle dans le trou d’Aurélien. Benoît répète ce mouvement plusieurs fois de suite avec vigueur. Il sent que le point de non-retour avance à grands pas. Dans un dernier coup de reins, il pénètre Aurélien virilement et inonde ce rectum assoiffé de jus crémeux jusqu’à la dernière goutte.

Théo, pendant que Benoît remplit d’une bonne dose de crème, se ressaisit du double gode. Il se frotte contre son cul avec ce gode d’une manière sans équivoque. Il veut de nouveau se l’enfoncer dans son cul tout lisse pour pouvoir se vider les couilles. Théo vient vers moi, le double gode à la main. Je prends alors le flacon de gel dans la sacoche derrière moi. J’en presse une bonne dose sur le gode. Théo l’étale grossièrement sur l’engin de plaisir. Il me tend aussi sa main pour une dose plus modeste de gel. Il se l’étale sur son anus. Il s’allonge sur le dos sur son lit et s’enfile sans problème la moitié de ce double gode. Il réclame Aurélien pour qu’il s’enfonce l’autre bout. Aurélien s’exécute sans broncher. Aurélien n’a aucun souci pour enfoncer cette autre moitié puisque les autres gars lui ont ouvert magnifiquement le conduit. Théo ne bouge pas. Il ordonne à Aurélien de faire lui-même les mouvements de bassin pour que Théo atteigne la jouissance extrême. Nous n’attendons plus très longtemps. Théo, dans une nouvelle montée de jouissance, inonde ses abdos et ses pecs d’une abondante et onctueuse crème blanche. Je décide de me lever et de lécher cette crème. Je n’avale pas cette crème. Je m’approche de la bouche d’Aurélien jusqu’à ce que nos deux bouches ne fassent plus qu’une. Je lui fais couler dans sa gorge tout ce liquide que j’ai dans ma bouche. Aurélien se lèche les lèvres.

Aurélien se replie au-dessus de son lit et désigne du doigt le dernier. C’est le tour du beau black, Félix. Il se paluche ses vingt-cinq épais centimètres depuis le début. Il lui était interdit de juter. Juste une perle est tolérée. C’est très difficile pour Félix de se maintenir en forme sans exploser. Il a devant les yeux un spectacle si excitant et si chaud. Félix s’avance d’un pas pressant vers l’objet si attendu depuis un bon moment. Les vingt-cinq centimètres s’approchaient de ce trou qui commençait à dégouliner des jus des trois autres. Félix n’eut aucun mal à s’enfoncer entièrement dans le cul duveteux d’Aurélien. Félix lui donne des claques sur les fesses pour encourager Aurélien à lui donner son cul.

Félix commence à faire des ronds avec son bassin. Ensuite, il se retire, se renfonce, ressort, … Félix d’un seul coup de reins viril perce la rondelle déjà bien ouverte et se vide entièrement de sa semence bien chaude. Félix attend patiemment l’ultime goutte pour se retirer. Je dis alors à Aurélien qu’il a mérité le droit de bien nettoyer la bite qu’il vient de recevoir en lui. Il s’affaire à le nettoyer méticuleusement. Je remercie donc Farid, Karim, Benoit et Félix d’avoir participé à cette orgie. Je les prie de regagner leurs chambres respectives. Aurélien me demande alors où est sa surprise de fin d’année. Je lui réponds que le moment arrive très vite et qu'il lui doit être très patient.

J’ordonne à Aurélien de se coucher sur le dos sur son lit. Je m’avance vers lui et je me saisis d’un autre accessoire que j’avais accroché à ma ceinture spéciale. C’est un gode épée de vingt-trois bons centimètres avec une poignée. Ce gode a une petite particularité. Il y a un rétrécissement sur ce gode juste avant la poignée pour pouvoir le garder inséré et de pouvoir se déplacer sans être obligé de le tenir.

Aurélien, les cuisses en l’air, écarte ses fesses toutes mouillées de sueur. J’insère le gode entièrement et facilement dans son cul et le laisse enfoncé. Au bout de quelques minutes, Je ressors ce gode et le re-rentre jusqu’à ce qu’il tienne tout seul.

Le moment venu, je vais contrôler que les autres se soient bien endormis pour emmener Aurélien dans ma chambre où attend patiemment François. Je n’entends aucun bruit. C’est le signal d’emmener Aurélien avec le gode inséré dans son cul.

Je fais lever doucement Aurélien. Je remercie Théo à son tour pour avoir participé à cette orgie et Aurélien et moi, nous dirigeons vers la porte. Nous avançons tous les deux dans ce couloir sans bruit. À mi-chemin, je donne une petite pichenette sur la poignée. Il me confie à voix basse qu’il se sent bien avec ce gode épée dans son cul. Il est impatient de recevoir sa surprise malgré ce gode qui lui bouche magnifiquement les entrailles gluantes de spermes.

Nous arrivons devant ma porte de chambre. J’entrouvre la porte et regarde si François est prêt à servir. Visiblement, il l’est. Il s’était mis un anneau en cuir pour maintenir son érection au maximum.

Je fais entrer Aurélien. Je n’allume pas la lumière. Seule la petite lampe de chevet éclaire la chambre.

François est là dans la lueur de la lampe de chevet, allongé sur mon lit, se paluchant délicatement son sexe bien durci.

J’annonce à Aurélien que François est sa surprise de fin d’année. Les yeux d’Aurélien brillent d’excitation et a un large sourire aux lèvres. Je donne le départ des festivités à Aurélien. Il s’approche de la bouche de François. Ils s’embrassent longuement. Aurélien descend plus bas et s’attarde sur les tétons devenus sensibles de son cadeau. François arbore une toison pectorale uniforme et bien entretenue. François gémit de plaisir. De ses deux mains, François saisit la tête d’Aurélien, l’amène jusqu’à ce qu’Aurélien ai sa bite sous son nez et le force de le sucer. Aurélien toujours le gode bien coincé dans son cul pour emprisonner toutes les doses d’amours bestiales qu’il a en lui.

Je stoppe Aurélien dans son élan de succion. Je le fais s’allonger sur le dos. Je lui ordonne de bien écarter ses cuisses. Je donne une dernière pichenette sur le manche du gode qui lui bouche le trou depuis un bon quart d’heure. Je décide alors d’enlever ce gode en prenant garde à ne rien laisser échapper de ce milk-shake que je soupçonne être délicieux à souhait.

Aurélien libéré, il chevauche avec vigueur ce pieu épais. Il fait des ronds entre deux montées et descentes le long de cet engin de plaisir qu’offre François. François agrippe et appuie sur les épaules d’Aurélien pour l’obliger à s’empaler à fond car il sent le coup partir. Une première salve de liquide chaud inonde Aurélien. Je renfonce l’épée de latex dans son orifice anal pour plusieurs minutes. François lui ordonne de lui lécher son trou. Pendant ce temps-là, je tiens, tourne, faisais vibrer le gode manrammer. François cligne de l’œil et se lève. Il est de nouveau dur et excité. Aurélien s’allonge sur le bord du lit. Je retire à nouveau le gode et François le pénétre par derrière avec vigueur en lui tenant fermement le bassin. Aurélien est aux anges. François lui claque le cul. La seconde salve ne se fait plus attendre. François a des spasmes d’extase extrême. Il inonde le fondement déjà bien mouillé d’Aurélien. Il se retire tout doucement.

Aurélien veut me sucer. Je ne suis pas contre l’idée mais je lui explique qu’il doit subir un ultime truc avant de mériter de me sucer. Je me dirige vers mon casier secret, j’en ai extrait un plug de bonne taille et je demande ensuite à François de lui enfoncer ce plug dans le trou d’Aurélien en lui disant qu’il est obligé de le garder dans son cul jusqu’au lendemain soir après les cours pour accéder à la possibilité de me sucer.

Il repart ainsi, le cul bouché par le plug, finir sa nuit dans sa chambre à l’autre bout du couloir.

François repart, lui aussi de son coté. Je me couche alors avec le boxer latex sur moi.

Le lendemain matin, sur les coups de sept heures moins le quart, il se réveille, se leve, s’habille, va à la salle de bains pour faire sa toilette. Puis, il descend au réfectoire pour l’ultime petit-déjeuner de l’année. Tout ce petit monde a vidé les armoires et préparé leurs valises près de leurs chambres.

Vient l’heure de la dernière journée de cours. Aurélien a toujours le plug en lui. Je le sais parce que j’ai missionné Théo pour me dire si Aurélien a gardé le plug le reste de la nuit.

Après le repas du midi à la cantine, Aurélien accompagné de Karim revient me voir pour lui accorder une dernière chose. Il me supplie à genoux pour se refaire défoncer la rondelle par Karim. Je ne peux qu’accéder à sa demande. Nous montons tous les trois dans ma chambre au premier étage de l’internat. Les stores sont baissés entièrement et les lames tournées de façon à laisser passer peu de lumière de jour.

Aurélien et Karim se désapent en vitesse. Aurélien s’allonge sur mon lit, le cul en l’air et écartant les fesses. Je constate que le plug est toujours en place. Je retire très lentement le plug et l’offre à sa bouche. Je décide de lécher le trou ouvert et d’une main, je branle Karim. Il commence à perler. Karim peut dès maintenant pénétrer ses dix-huit centimètres bien épais et circoncis. Karim pose son gland luisant et pousse virilement d’un coup l’anus juvénile à peine remis du défilé de la nuit précédente. Karim donne des coups de reins bestials. Aurélien geint dans mon polochon pour étouffer ses cris d’un immense plaisir. Les fesses d’Aurélien claquent sous les assauts de Karim. D’un coup sans prévenir, Karim lâche les vannes et remplit le conduit anal de sa petite salope. Karim ressort un court instant et se remet en selle pour pousser davantage au plus profond sa production. Je me lève de mon fauteuil de voyeur et va chercher le gode à poignée dans l’armoire et lui enfonce dans le trou. Pendant que je rejoue de l’épée dans le cul, Karim se rhabille et quitte la chambre. Après quelques longues minutes d’agréables supplices, Je retire le gode épée et le remplace par le plug. Aurélien se rhabille aussi et me remercie de lui avoir permis de se faire inséminer par le beau Karim. Aurélien me confirme qu’il va revenir sitôt la sonnerie de fin du dernier cours afin de venir dans ma chambre pour se sustenter de mon jus d’amour et lui retirer le plug de son cul de salope.

L’après-midi de cours se passe bien. Je me dis au fond de moi qu’Aurélien doit se trémousser sur sa chaise en attendant le moment où je vais lui retirer le plug. À la fin de l’après-midi, sur les coups de dix-sept heures moins cinq, quelqu’un frappait à ma porte. Je vais ouvrir. C’est Félix, le grand black. Une belle bosse se forme dans son pantalon. Je l’informe qu’Aurélien va revenir dès la sonnerie de fin de cours pour se faire retirer le plug qu’il a dans le cul et qui lui bouche le conduit depuis plus de douze heures d’affilée.

Félix est très content de cette nouvelle. Il va pouvoir se faire plaisir avec Aurélien. Félix se déshabille. Il porte un jockstrap en coton blanc qui lui moule très bien le paquet. J’ai très envie de lui huiler le corps. Je prends le flacon d’huile pour le corps dans mon armoire. Je fais s’allonger Félix sur mon lit et commence à enduire le corps d'ébène de Félix. Sa peau brille magnifiquement bien.

La sonnerie de dix-sept heures retentit. Très peu de temps après, quelqu’un frappe à la porte de ma chambre. Je suis si occupé avec Félix que je n’entends pas la porte par deux fois. Je me décide alors d’aller ouvrir. Je trouve Aurélien grattant du pied. Il entre et voit Félix étendu sur mon lit nu comme un ver. Félix n’est pas tellement prévu qu’il revienne. Aurélien quitte à la hâte ses habits. Aurélien me demande alors si je peux lui enlever le plug. Je lui propose de patienter encore un peu. Je le questionne sur sa journée avec le plug qui emprisonne toutes ces doses de la nuit. Il me répond qu’il se sent hyper bien. Il ajoute, en voyait Félix au garde à vous, qu’il veut se faire repeindre le conduit encore une fois par ce Félix. Il semble oublier le pourquoi il est venu à l’origine. Il s’approche du cul noir. De ses mains, il écarte les deux lobes et commence à lécher ce trou qui s’offre à lui.

Je ressors de mon armoire le gode à poignée dont je me suis servi pendant la nuit. Je m’approche de la rondelle d’Aurélien, lui enlève le plug et le remplace par l’accessoire que j’ai en main. Je le fais coulisser entièrement et virilement. Aurélien ne dit absolument rien. Il geint de plaisir même. Je le sens prêt. Il suce un court instant Félix puis, en deux temps trois mouvements, Aurélien retire lui-même son gode à poignée et s’empale à fond sur le pieu d’ébène. Puis Félix veut prendre Aurélien par derrière dans la position de la levrette pour pouvoir optimiser au maximum sa pénétration. Félix lui intime l’ordre de se lever devant lui et de bien se pencher en avant. Aurélien s’exécute docilement. Félix fait durer le plaisir en frappant avec son sexe sur chaque fesse duveteuse. Aurélien n’en peut plus d’attendre. Il supplie son supplicier de le sodomiser à fond. Félix pose son gland et d’un coup, il le pénètre entièrement et alterne des coups lents et rapides.

Toute cette journée, moi aussi, j’ai le cul comblé. Je porte le boxer gode depuis la nuit précédente pour mater la soirée de Théo, puis celle d’Aurélien.

Félix lui lime le cul si bien qu’il ne sent pas venir et lui explose abondamment dans ses entrailles. Il ne se retire pas aussitôt. Il attend bien sa dernière cartouche de balle à blanc et se retire très doucement. Félix lui remet le plug dans son cul. Il se présente maintenant devant la bouche d’Aurélien pour bien qu’il le nettoie.

Félix se rhabille et sort de ma chambre.

Aurélien s’agenouille devant moi. Je bande dans mon boxer en latex. Je le supplie en haussant le ton de me dire ce qu’il veut faire maintenant. Je lui fais répéter plusieurs fois.

Je lui sors alors mon seize centimètres glabre de son écrin de latex. Aurélien frôle de sa langue experte mon gland. Une perle se forme. De mes mains, j’appuie sur l’arrière de sa tête pour le forcer à l’emboucher un peu davantage. Il s’applique si bien, le bougre. Il arrive de me la prendre entièrement jusqu’à la garde, et ce, par deux ou trois fois.

Je ne peux plus me retenir très longtemps. Il me fait beaucoup de bien. C’est alors que je lui explose dans sa bouche. Il n’essaie pas de recracher ce que je viens de lui offrir. Il le laisse couler au fond de sa gorge. Une fois qu’il a avalé, il me dit que c’est très bon et qu’il a aimé me sucer.

Aurélien se retourne et me présente son cul. Je lui dis alors qu’il peut garder le plug pour lui, que c’est un cadeau. Il m’embrasse sur la bouche pour me remercier de ce joli présent. Il se rhabille et sort de ma chambre. Il récupère ses valises dans la chambre et quitte cet endroit qu’il a occupé toute une année scolaire avec son colocataire Théo. L’année est bien finie et il faut bien quitter cet établissement.

18 mars 2013

Débauche à l'internat

Je suis employé, pour l'année scolaire seulement, au poste de surveillant de nuit dans un lycée professionnel dans un internat de garçons. Ma mission est de surveiller tout un palier comportant cinq chambres de chaque coté d’un long couloir dont le sol est revêtu de vieilles dalles grises. Dans chaque chambre, sont logés deux étudiants d’une vingtaine d’années. Il y a donc, deux lits, deux armoires, deux bureaux et une table en bois pas très grande.

Ma chambre est à l’une des extrémités de ce couloir. À l’autre extrémité, se trouve la chambre de Théo et d’Aurélien. Théo est un garçon sportif typé méditerranéen de vingt ans, brun. Aurélien, lui, a un an de plus, brun, un peu plus enveloppé que son colocataire.

J’ai su, en cours d’année scolaire, que Théo a une sexualité différente. Il aime beaucoup les garçons. Une rumeur court, que le soir très tard, après que je me sois bien endormi, Théo donne rendez-vous, à tour de rôle, à deux autres étudiants de ce couloir pour passer un bon moment ensemble. Les deux étudiants conviés ne font aucun bruit dans le couloir pour ne pas que je découvre leur petit manège nocturne et que je les dénonce et de risquer qu’il se fasse renvoyer de cet internat par le proviseur.

Un soir de juin, je me rends compte que la fin de l’année approche à grand pas. Il est grand temps pour moi de enfin savoir ce qu’il se trame à l’autre bout du couloir. Je me suis fait quand même ma petite idée. Il faut que j’en aie le cœur net. Je sais que Théo et Aurélien ne ferment jamais la porte à clé la nuit.

Par une nuit chaude, vers deux heures du matin, alors que tout le monde dormait, je décide d’ouvrir mon armoire renfermant un compartiment secret fermé par un solide cadenas. Je garde la clé de ce cadenas tout le temps sur moi, bien cachée. J’en sors sans bruit, un boxer moulant en latex épais. Dans le fond de ce boxer, est moulé dans la masse, un buttplug d’une bonne douzaine de centimètres de long et une circonférence de huit centimètres. Je prends le flacon de gel lubrifiant à la saveur chauffante qui se trouve dans cette cachette. Je presse ce flacon pour faire sortir une bonne dose pour l’étaler sur ce plug. J’enfile à la hâte le boxer en prenant soin de bien m’enfoncer à fond le plug bien lubrifié dans mon anus. J’enfile un harnais de torse en cuir avec des boutons pressions. Par-dessus ce harnais qui me moulait la poitrine, je mets un T-shirt noir et ample. J’enfile aussi un caleçon short. J’éteins la petite lampe de chevet et sors de la chambre. J’ai mis juste mes chaussettes pour ne pas réveiller tous ces étudiants qui dorment dans leurs chambres.

J’avance jusqu’à une première chambre tâtonnant les murs pour ne pas être obligé d’allumer les néons de ce couloir. J’ouvre doucement la porte sans la faire grincer. Sur le premier lit, dort sur les draps, cul nu, Karim, vingt ans, sportif. Je sais que Karim est hétéro mais je sais aussi qu’il a envie d’expérimenter une relation sexuelle avec un garçon. Dans cette même chambre, dort Benoît, fesses à l’air sur le lit. Il a vingt ans également, sportif aussi, châtains clairs avec des petites mèches blondes. Je réveille doucement ces deux mecs en leur demandant de se lever et de me suivre en silence. Je leur ordonne de ne rien mettre sur eux sauf leurs chaussettes. Ils m’interrogent sur le but de ce réveil nocturne. Je réponds à Karim qu’il a très bientôt avoir une relation sexuelle avec un mec. Karim et Benoît me suivent tout nus dans le couloir. Nous progressons doucement jusqu’à une autre chambre au milieu du couloir.

Je fais signe à Théo et Benoît de stopper la progression.

J’entre sans bruit dans cette chambre où dorment, entièrement nus, Farid et Félix. Ils ont rapproché l’un de l’autre leurs lits. Je passe ma main sur les cuisses musclées et les jolies fesses poilues de Farid. Je fais de même pour Félix. Félix a les fesses glabres. Je leur murmure de me suivre nus et en chaussettes dans le couloir. Félix et Farid rejoignent Karim et Benoît dans le couloir. Farid et Félix ont vingt trois ans.

Nous avançons, nous cinq, doucement et toujours en silence, vers cette mystérieuse chambre où semblent dormir profondément Théo et d’Aurélien.

Arrivés devant la porte, je fais mettre Benoît, Karim, Félix et Farid en file indienne en veillant que Karim soit en dernière position. Je leur fais comprendre par des gestes ce qu’ils vont devoir faire une fois la porte franchie. Ils doivent entrer en bandant très dur pour ramoner le petit trou serré et gourmand de Théo. Je branle Karim qui branle Félix qui branle Farid qui branle Benoît. Dès que ces membres sont prêts, nous arrêtons de branler et pénétrons dans cet antre de débauche. Je suis surpris de voir Aurélien, le nez enfoui dans la raie des fesses imberbes de Théo. Il semble adorer qu’Aurélien lui fouille amoureusement l’anus de sa langue experte. Aurélien a de très jolies fesses bombées et duveteuses. Cette merveilleuse vision nous émoustille de plus en plus. Je m’approche des fesses d’Aurélien. Je l’interrompt de sa tâche en lui caressant ses fesses et en promenant un doigt autour de son anus. Aurélien tourne la tête et voit ses quatre beaux manches tendus vers le ciel et qui commence à briller dû à l’excitation. Il comprend aussitôt le pourquoi de notre visite. Il se retire lentement du lit laissant Théo dans ses rêves. Théo porte un jockstrap blanc élastiqué.

Aurélien va branler Benoît un très court instant. J’interromps de nouveau Aurélien pour que Benoît puisse s’introduire dans le cul serré et lubrifié de Théo. Je vais m’asseoir sur la chaise juste en face du lit de Théo pour avoir la meilleure vue.

Benoît approche sa bite de la rosette qui s’offre à lui. Il s’y enfonce tout doucement et régulièrement jusqu’à ce que son pubis bien entretenu touche les fesses de Théo. Il reste un instant au fond puis se retire entièrement et y replonge de plus belle. Théo ne réalise toujours pas ce qu’il subit. Il est toujours dans ses rêves érotiques.

Benoît lui assène des coups réguliers tout en augmentant peu à peu la force. De temps en temps, Benoît dessine de larges cercles avec son bassin. Pendant ce temps, Aurélien donne quelques délicats coups de langue experte sur le sexe de Farid. Cette langue est juste destinée à maintenir en bonne forme dans la file d’attente. Benoît est si bien dans ce cul qui commence à chauffer. Il est pris de spasmes pour exprimer une jouissance extrême. Il est en train de jouir. Il reste en lui jusqu’à l’arrêt final de la charge car il ne veut pas gaspiller aucune goutte de ce précieux liquide. Farid se présente aussitôt après Benoît. Farid pointe l’œillet, et d’un seul coup, rentre complètement son pieu lisse et circoncis d’une bonne vingtaine de centimètres dans cet anus déjà bien chaud et humide.

Farid reste un instant puis ressort entièrement pour s’y renfoncer plus virilement. Farid entame une longue série de va-et-vient de telle sorte que les fesses imberbes de Théo claquent sous ses coups de pine. Farid fait, lui aussi de larges cercles avec son basin afin de détendre le sphincter anal de ce mec.

Au bout de cinq bonnes minutes, Farid grimace. J’en déduis qu’il lui remplit les boyaux d’une abondante crème. Théo ne bronche toujours pas aux assauts virils de Farid.

Pendant que Farid finit de besogner ce trou qui ne demande qu’à bien s’ouvrir, Aurélien s’affaire à maintenir Félix en forme.

Farid se retire lentement de cet orifice, se lève et va rejoindre Benoît. Farid bécote Benoît. Aurélien prend alors la décision d’emboucher alternativement les glands de Benoît et de Farid pour parfaire le nettoyage. Je vois Aurélien s’appliquer à cette tâche.

Félix grimpe alors sur le lit et présente son long dard épais chocolaté à l’entrée et poussa régulièrement dans le trou humide. Il se retire et hèle Aurélien pour qu’il envoie un énorme crachat sur l’œillet de Théo afin qu’il glisse mieux complètement son énorme épée dans ce fourreau si chaud. Aurélien s’exécute sans discuter. Félix se représente. Il pousse de nouveau sa chose virilement et commence un ballet incessant d’allers-retours de bassin. Je suis estomaqué de remarquer que Théo ne bouge pas d’un iota sous les coups de boutoirs de ce black qui lui ramone les entrailles sans ménagements. D’où je suis assis, je peux assister à la valse des deux gros œufs en chocolat que possède Félix entre ses belles cuisses musclées. Au bout d’un quart d’heure, Félix s’immobilise. Il est profondément ancré. Il éclabousse tout l’intérieur de Théo. Cette jouissance est le signal, une fois encore, à Aurélien de préparer le dernier prétendant. C’est Karim, l’arabe hétéro. Aurélien s’applique à lui passer la langue sur le gland circoncis de ce jeune novice. Karim apprécie ce qu’Aurélien lui fait. Il est temps que Karim monte sur le lit et se présente derrière Théo. Il semble maladroit à l’idée de pénétrer pour la première fois un mec. Je décide alors de l’aider. Je monte derrière sur le lit. Je me colle contre lui. Je m’arrange pour qu’il ne puisse plus reculer une fois son gland circoncis posé sur ce cratère anal que viennent de laisser Benoît, Farid et Félix. Je prends les deux mains de Karim et le lui fait poser de chaque coté du bassin de Théo. Je demande alors à Karim s’il est bien enfin prêt à faire le grand saut vers la pratique de la sodomie. Il me fait signe de la tête qu’il l’est.

Je saisis, moi aussi, le bassin de Théo. Je pousse alors le mien vers l’avant, ce qui a pour incidence la pénétration des premiers centimètres du sexe épais de Karim à l’intérieur de Théo. Je le force à rester un instant dans ce trou. Je le questionne sur ses premières impressions. Puis, je continue à contrôler les mouvements de bassin de Karim. Je le force à aller jusqu’au fond de ce trou. Il s’étonne que c’est si bon un cul de mec et que ça vaut la peine d’essayer ça. Il décide donc de continuer seul sans mon aide. Je me retire donc de derrière lui et descends du lit. Pendant que Karim baise Théo, Aurélien nettoie la grosse tige noire et brillante de Félix. Karim, n’ayant pas pu se retenir très longtemps, éjacule tout son jus dans le cul dégoulinant et chaud. Karim se retire et se présente à Aurélien pour qu’il le nettoie bien.

J’ordonne ensuite à ces baiseurs de regagner leurs chambres respectives en me faisant promettre de ne rien répéter à qui que ce soit. Chacun promet de rien ébruiter.

Une nouvelle idée vient de me titiller l’esprit. J’ai faim de vitamines. J’ordonne à Théo de s’asseoir sur ma bouche ouverte et de laisser couler tout ce sperme emmagasiné au chaud dans son intestin. J’avale ce cocktail de jus au fur et à mesure qu’il coule. Quand je suis sûr de tout avoir avalé, je me lève du lit et dis à Aurélien qu’il peut le nettoyer lui aussi. Je donne une claque de remerciement sur le cul de Théo et regagne ma chambre pour y finir la nuit qui est déjà bien avancée.

Le lendemain soir, en ouvrant ma porte de chambre, je découvre par terre, une enveloppe cachetée qu’un élève de ce couloir a glissé sous ma porte dans la journée. Je me demande : « Mais qui était-ce ? »

11 mars 2013

L'île mystérieuse

Cela fait plusieurs mois, voir plusieurs années, que je me sens si seul. Je veux changer d’air et rencontrer du monde. Je sais qu’une radio diffuse un jeu pour gagner un voyage de 15 jours chez l’habitant pour une personne sur une île paradisiaque dans l’hémisphère sud. Seul le billet d’avion est offert par la radio.

Un beau jour, je décide à écouter cette radio. Les questions portent sur la culture musicale française. Alors, je saisis mon téléphone et appelle le numéro surtaxé qui est annoncé à l’antenne. Je suis pris à l’antenne. La question est facile pour moi. J’ai la très agréable surprise d’être l’heureux gagnant de ce voyage aux antipodes. Un moment après, je reçois un billet d’avion à destination de cette île. Je prépare donc mes valises pour cette destination de rêve. Le jour J, je pars vers l’aéroport international le plus proche de chez moi. Je prends l’avion pour la première fois. Je suis si content de voir du pays malgré cette petite appréhension de la première fois de l’avion.

Après de longues heures de vol, j’atterris à l’aéroport de cette île. Je sors, après avoir récupéré mes bagages, de l’aéroport et me dirige vers l’Office du Tourisme local. Je demande donc s’il connait une famille qui peut m’accueillir pour cette période 15 jours. L’agent est très gentil. Il me propose d’appeler lui-même cette famille dans le sud de l’île. J’accepte bien volontiers cette si gentille attention. J’attends dans le hall.

Un moment plus tard, quelqu’un se présente au guichet. L’agent nous présente l’un à l’autre. C’est le fils de cette famille, d’une petite trentaine d’années à vue d’œil, métis, brun, pas très grand, mais qui a son petit coté sympathique et attachant.

Nous montons en voiture. En chemin, nous échangeons quelques mots. Ce gars remarque qu’il ne me laisse pas indifférent. Il a compris et il m'a souri.

Une demie heure ou trois quart d’heure plus tard, nous arrivons chez sa mère. Elle m’accueille sur le pas de la porte. Je prends mes grosses valises dans le coffre de la petite voiture que le garçon possède. Je fais connaissance avec la mère de ce garçon. Cette mère essaie de m’expliquer qu’elle ne possède pas de chambre d’amis. Elle demande alors à son fils s’il accepte de partager son lit avec moi. Nous nous regardons sans éveiller les soupçons. Il répond que c’est d’accord et qu’il n’y a pas de problème. Intérieurement, je suis aux anges. Je ne m’attends pas un seul instant que la mère me propose cet agréable arrangement. Je prends donc mes bagages et suis ce garçon dans sa chambre afin d’y déposer mes valises un peu encombrantes, je dois le dire. Pour le déjeuner, la mère a confectionné un repas typique de cette département pour me souhaiter la bienvenue sous son toit. L’après-midi, le garçon m’emmène dehors pour faire le tour du jardin. Il me montre les légumes et les fleurs qu’on ne peut pas trouver en métropole. Pendant cette visite instructive, ne m’y attendant pas du tout, le garçon me pose un baiser sur chaque joue. Je suis agréablement surpris de son geste. Je ne dis rien. La visite du jardin terminée, le garçon me montre ses chatons tigrés. Puis, vient l’heure du dîner. Sa mère a cuisiné du poisson, du riz.

Pendant le repas, nous discutons de ce que je fais comme activité en métropole. L’heure de se mettre au lit approche. Le matin même, je descendais de l’avion. La fatigue me gagne.

Le garçon et moi, nous dirigeons vers la chambre où se trouve un grand lit. Il se déshabille et se couche pendant que je vais me brosser les dents dans la salle de bains. Je reviens vers la chambre, me déshabille à mon tour et me coule dans les draps. Je me suis aperçu qu’il ne porte presque rien la nuit à part un petit slip en coton blanc. Encore une fois, je reçoit deux autres baisers. Ceux-là sont légèrement différents de ceux de l’après-midi. Ils sont plus langoureux. Je lui fais comprendre en lui rendant la pareille puis en le caressant de mes mains son visage. Je lui dépose d’autres bisous dans son cou en l’enserrant longuement dans mes bras. Je me rends compte qu’il possède une peau si douce au toucher.

Nous finissons cette première nuit dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain matin, le garçon me demande si j’ai bien dormi. J’acquiesce. Morphée m’avait accueilli. Nous nous levons, habillons et dirigeons vers la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Ensuite, le garçon m’emmène à la ville pour visiter les curiosités locales. Nous revenons à la maison en fin de matinée. Nous aidons sa mère à préparer le déjeuner en mettant la table. Pendant que nous mangeons, sa mère nous dit qu’elle veut passer l’après-midi chez une de ses amies à un quart d’heure de marche et que nous avons la garde de la maison. Une fois que sa mère est partie, une envie de se faire masser vient à ce garçon. Cherchant à lui satisfaire son envie, je l’emmène dans la chambre après avoir vérifié que l’on ne soit pas dérangé pour rien. Je lui demande de s’installer confortablement sur le ventre sur son lit. Mais avant, il sort de sa table de nuit un petit flacon d’huile de massage légèrement mentholée. Il enlève son T-shirt et s’allonge pendant que je saisis le flacon. Je fais couler un peu d’huile sur le haut de son dos et commence à lui masser doucement le cou. Il gémit de plaisir en sentant mes mains caresser sa peau si douce. Après le cou, je descends le massage vers les épaules puis les omoplates. Il m’encourage pour poursuivre ma bonne action. Je descends encore plus bas pour lui masser le dos. Je reste un longtemps à cet endroit. Je poursuis lentement vers les lombaires. Je sens qu’il prend beaucoup de plaisir. Je vois son sexe perler sous son slip en coton. Je descends encore plus bas vers les fesses bien fermes. Il ne bronche pas. Je commence longuement par la fesse gauche puis doucement je glisse vers celle de droite.

Nous sommes obligés de nous arrêter car sa mère va bientôt rentrer. Il n’aurait pas fallu qu’elle nous trouve dans cette fâcheuse posture. Comme la veille, vient l’heure du dîner.

Le repas fini, nous aidons à débarrasser la table. Nous regardons les infos régionales et ensuite la météo puis nous discutons pendant une heure. Nous décidons de nous coucher de bonne heure. Le garçon m’annonce qu’il reste plein de choses à voir le lendemain. Le tour du marché le matin et le tour de l’île l’après-midi. Le garçon va se brosser les dents. Il m’informe que la salle de bains est libre. Je me dirige alors vers la salle de bains pour me laver aussi les dents. Pendant ce temps, sans faire de bruit, il se déshabille entièrement et se glisse dans les draps. Une fois fini, je le rejoins entièrement dévêtu dans les draps. Je me couche sur le coté en position du chien de fusil. Au bout d’un moment, je sens tout son corps se coller à moi. Je viens de réaliser qu’il est tout nu. Il m’enserre de ses bras pour me remercier de la séance de massage que je lui ai prodigué une partie de l’après-midi. Nous nous endormons dans cette position si agréable.

La nuit se déroule sans encombres jusqu'au petit matin. Nous nous retrouvons chacun sur le dos. Je me réveille le premier. Pour le réveiller en douceur, j’approche ma main de son torse imberbe. Je caresse ses pectoraux, puis les abdos. Il ne se réveille toujours pas. Je poursuis les caresses plus bas. Je sens qu’il ne posséde aucun poil pubien. Je prends l’objet entre deux doigts et je commence ce massage si intime. Je descends et monte doucement le long de son sexe. Le sexe se « réveille ». Ma main accélère progressivement la cadence de montée et de descente.

Au bout d’un moment, je suis surpris que le garçon ne se réveille toujours pas pendant que je lui prodigue ce « soin » si particulier. En fin de compte, il se réveille juste au moment où la « crème du plaisir » jaillit brusquement en de nombreux jets saccadés.

Nous nous embrassons sur la bouche juste avant de se lever pour le petit déjeuner matinal.

Un bol de café et des tartines de pain nous attendent sur la table de la cuisine. Sa mère est dans le jardin pour ramasser des légumes pour le déjeuner. Comme programmé la veille, nous partons en voiture faire un tour au marché sur la place du village. Nous nous arrêtons à chaque étal pour sentir chaque odeur que peuvent exhaler les papayes, ananas, mangues, bananes, et litchis. Chacun de ces fruits ont une odeur agréable. Je m’enivre de ces odeurs. Un peu plus loin, des odeurs un peu moins réjouissantes, celles de la marée me viennent au nez et me ramènent à la réalité. Nous ne nous y attardons pas longtemps.

Le tour du marché terminé, nous revenons à la maison pour le déjeuner. Le repas se déroule normalement. Nous regardons le Journal Télévisé.

Après le repas, nous repartons en voiture pour une visite des différents types de plages (plages de sable noir, plages de sable blanc et des plages de galets). Nous prenons le sens inverse des aiguilles d’une montre. Nous commençons par nous arrêter sur une plage de sable blanc. Nous descendons de voiture sur un parking. Nous nous dirigeons vers la plage, mettons pieds nus. Nous marchons sur le sable. Nous allons même nous tremper les pieds dans l’eau de mer. Des palmiers bordent cette plage. Sur cette plage, des autochtones se prélassent torses nus et en caleçons au soleil.

Nous nous séchons les pieds et remontons en voiture. Nous repartons vers un autre type de plage. Vers une plage de sable noir cette fois. Je ne connais pas cette couleur de sable. C’est une plage longée de rochers. Nous marchons le long de cette plage. Par endroits, l’érosion fait apparaître des petites cavernes à l’abri des regards. Plusieurs cavernes se suivent. Dans certaines de ces cavernes, se trouvent des naturistes locaux plus ou moins jeunes. Je vois que ces autochtones sont très agréables à regarder. Mon guide personnel me propose de faire une halte d’un quart d’heure environ dans une de ces cavernes. Sans que je m’y attende, il quitte son caleçon et met au jour un sexe turgescent de bonne taille à faire pâlir une jeune fille qui n’a jamais connu le loup. Nous restons sur le dos pendant quelques longues minutes jusqu’au moment de repartir. Ce sexe n’a pas dégonflé. Le garçon a, je pense, une idée derrière la tête en voulant s’arrêtant dans une de ces cavernes. Il veut que je m’occupe de lui avant de pouvoir repartir dans des conditions acceptables. J’ai deviné son petit manège. Comme je le connais que depuis 3-4 jours, je ne veux pas précipiter les choses et je ne veux que les gendarmes chargés de la surveillance du littoral nous surprennent dans une fâcheuse position. Alors, avant de repartir, il se masturbe.

Ensuite, en route, le garçon m’explique qu’il a été excité par ces naturistes étalés sur ce sable noir. Nous nous dirigeons maintenant vers une plage de galets.

Arrivés sur cette plage de galets, nous marchons un petit moment. Des gens sont allongés là sur cette plage. L’heure de rentrer pour le dîner vient.

Nous rentrons, dressons la table. La mère du garçon s’affaire à la cuisine. Elle nous demande si nous avons passé une bonne après-midi. Le garçon raconte que nous avons fait des arrêts sur différentes plages en citant les noms de ces plages. Entendant les quelques noms, elle ne « tiquea » pas. Elle sait ce qu’il s’y passe.

Une fois le dîner fini, nous débarrassons les couverts. Puis, nous partons vers la chambre pour discuter de l’après-midi. Nous nous brossons les dents l’un après l’autre comme les jours passés. Nous discutons de ces moments dans les draps. Vient l’épisode de cette plage de sable noir où il y a les naturistes. Une nouvelle fois, le garçon est pris d’une érection mémorable. Le garçon me fait comprendre de nouveau, qu’il veut que je m’occupe de lui à nouveau en faisant danser son sexe sous mon nez. Je suis dans un état second. La décision est difficile à prendre. Finalement, je me dis que ça fait 3-4 jours que nous nous connaissons. Je réponds favorablement à son appel en effleurant de ma langue son gland luisant de désir. J’ouvre ma bouche pour lui sucer ce sexe qu’il m’offre. Je vois qu’il apprécie cette fellation tant attendue. Je me retire juste avant que l’explosion intervienne. Ensuite, nous nous endormons sur le coté mon dos collé à son ventre, ses bras m’enserrant le corps.

Quatre à cinq jours se passent. Le soir, au coucher, nous mettons nus, nous couchons normalement sans arrière-pensée, et nous serrons juste l’un contre l’autre.

Au bout de cinq jours, je réfléchis que mon séjour arrive à son terme avant que je reprenne l’avion pour revenir chez moi en Métropole et que je n’ai pas fait un acte d’amour mémorable et que je ne sais pas si je vais revenir de sitôt dans cette île si loin de chez moi. Il me faut donc que j’imagine un stratagème pour lui faire comprendre que je veux ramener un très agréable souvenir.

Le jour que je me suis fixé pour cette scène inoubliable arrive.

La veille, je suis allé en ville dans un sex-shop pour m’acheter un gode à deux têtes, -qu’on appelle aussi dans les milieux autorisés un double dong- et du gel lubrifiant. Donc, le fameux soir, je lui explique qu’il me fasse entièrement confiance et d’exécuter docilement les trucs que je lui demande. Il accepte. Étendu sur le ventre, il se laisse faire. Je commence à prendre un peu d’huile de massage avec laquelle je me suis servie quelques jours auparavant. Je lui masse le dos et ses fesses imberbes et douces. Je fais glisser mes doigts huileux entre ses fesses vers son anus tout lisse. J’y glisse deux doigts à l’intérieur. Il aime ça vu de la manière si douce j’ai utilisée.

Ensuite, je me mets moi aussi sur le ventre et lui demande de me masser le dos ainsi que mes fesses duveteuses de la même manière que pour lui. Ensuite, installé sur le dos, je le lèche partout sur le torse. Je me mets à sucer son sexe durci tout en me plaçant au dessus de lui en position dite du « 69 ». J’approche ma langue de son anus. Lui aussi, il me fait de même. Au bout d’un long moment, je sors le double dong et le gel lubrifiant de leurs emballages respectifs. Il comprends ce que je veux. Il se met sur le dos, écartant les jambes. Je me saisis du gel en prélevant une belle noisette du flacon. Je commence à lui en enduire longuement l’œillet qui commence à s’ouvrir. J’enduis le gode de gel pour en faciliter l’utilisation. Je l’introduis dans son fondement tout doucement, le fais aller et venir deux à trois fois. Je m’installe en face de lui. Nos œillets font face. Je lubrifie aussi l’autre bout de ce double gode, me l’enfonce moi aussi dans mon cul. Une fois en place, nous nous tortillons du bassin et nous touchons nos corps offerts, puis nous masturbons longuement tout en remuant du popotin. Nous accélérons progressivement la cadence du poignet et du bassin. Juste avant de sentir monter la sève, nous expulsons l’engin de latex et bien vite, nous nous remettons en « 69 ». L’explosion vient. Nous gardons nos bites dans nos bouches. Il m’envoie son délicieux sperme couler au fond de ma gorge. Je me délecte jusqu’à la dernière goutte. Le garçon a fait pareil avec mon sexe. Je lui envoie ma semence au fond de sa gorge. Après un moment, il m’embrasse sur la bouche. Nous nous endormons pour une dernière nuit.

Le lendemain matin, je dois faire mes bagages pour reprendre l’avion dans le début de l’après-midi. Je fais attention de rien oublier sur cette île lointaine.

Un bol de café nous attend sur la table de la cuisine pour une ultime fois. Nous bavardons longuement. Il me demande si j’ai apprécié ce séjour. Je lui réponds que oui. Je le remercie de m’avoir fait visiter le tour des plages de l’île, le marché aux légumes. Il est presque l’heure de manger. Je ne mange pas beaucoup. J’ai l’estomac noué à cause de cette séparation avec ce garçon si gentil. Sur le point de monter en voiture, sa mère vient à notre rencontre. Elle m’embrasse. Je la remercie de m’avoir héberger pendant cette dizaine de jours sous son toit.

En chemin, nous nous arrêtons, une fois encore sur le bas-côté de la route, pour nous embrasser sur la bouche. Juste avant d’atteindre l’aéroport, nous nous échangeons nos coordonnées. Il m’accompagne jusqu’au quai d’embarquement. Je poursuis seul dans ce dédale de couloirs m’éloignant de ce mec si attachant et si envoûtant.

Je monte dans l’avion et me prépare à ce départ si déchirant. Je sens que les moteurs montent en régime et commence à rouler vers la piste de décollage. L’oiseau de fer quitte le sol de cette île du bout du monde. Durant le voyage, je me visionne dans ma tête les images du marché aux fruits et aux légumes, des plages de sables blanc de manière de soulager la tristesse de cette séparation. Et puis, je me suis dis, puisque j’ai ses coordonnées, je vais lui écrire de belles et longues lettres pour lui montrer tout mon amour que j’ai eu pour lui pendant ce séjour en espérant qu’il m’en envoie d’aussi belles.

Au bout d’une dizaine d’heure de voyage, j’aperçois par le hublot, l’Italie, puis la Corse, les Alpes. J’arrive donc à Paris.

4 mars 2013

Anthony, Chris, Etienne

Anthony et son pote Chris s’offrent une soirée en boite. Ils se font accoster par un beau brun, vingt-cinq ans, très mignon et sympathique. Ils font connaissance et bavardent ensemble un long moment, boivent un peu trop. Vient le délicat moment où l’annonce de la fermeture arrive. Les trois nouveaux amis sortent ensemble de la boite. Anthony propose à Étienne et Chris d'aller chez lui pour un dernier verre.

Arrivés chez Anthony, sitôt la porte passée, les trois compères se désapent entièrement, se retrouvant tout nus et bien échauffés par l'alcool. Anthony referme le verrou de la porte pour ne pas être dérangés. Les phéromones d’Anthony lui montent à la tête et demande à Chris s’il peut le sodomiser là, tout de suite sur le canapé. Chris accepte. Il va chercher le flacon de gel lubrifiant dans sa table de nuit et met une bonne dose sur l’anus de son pote et ensuite sur son gland, pose son gland sur le trou, pousse régulièrement et entièrement sous les yeux d'Étienne qui se paluche lubriquement.

Anthony commence ses va-et-vient et dessine des cercles avec son bassin pour élargir un peu mieux l’anus de Chris. Chris aime ce que Anthony lui fait.

Étienne, voyant ce joli spectacle, se lève et se rapproche de Chris, lui caresse les fesses toutes douces pendant qu'Anthony sodomise Chris.

Anthony propose alors si Étienne veut plonger sa bite dans le cul de Chris. C'est alors qu’Étienne répond du tac o tac, qu'il a très envie.

C’est alors qu'Anthony se retire doucement pour "protéger" le sphincter anal et faciliter l'entrée en matière d'Étienne. Étienne se rapproche de plus en plus, sa bite toute dure, l’anus de Chris, toujours bien lubrifié et ouvert par Anthony. Étienne pose son gland sur la rosette et pousse hyper doucement et ... comme par magie, il ne lui fait aucun mal en le sodomisant, c’est à croire qu'il est un pro de la sodo.

Il effectue plusieurs allers-retours et explose tout son jus sur Chris qu'il étale bien avec son « machin » et Anthony se remet au travail en re-sodomisant pour se finir.

Etienne, Anthony et Chris s'embrassent amoureusement et se disent qu'ils garderont ce moment au fond de leurs mémoires en espérant qu'ils referont une telle baise aussi chaude prochainement.