Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

Mes fictions à ne pas reproduire chez soi sans préservatifs...

18 août 2023

Le bédouin d'Oman

J’étais écoeuré… j’avais encore vu mon mec me tromper encore une fois malgré ses promesses… certes il aimait baiser, se faire défoncer serait plus le terme… je pense qu’il m’aimait mais fallait qu’il aille voir ailleurs et se prenne toutes les bites qui passent…

Alors cette fois, plus d’ultimatum, j’ai pris le taureau par les cornes, je lui ai préparé ses valises et il les a trouvé dans l’entrée de l’appart… j’ai été intransigeant, je lui ai réclamé le double des clés et je l’ai foutu à la porte, je ne voulais plus le voir… il s’est mis à genoux devant moi, me suppliant, mais cette fois j’ai tenu bon et je l’ai laissé partir… j’en avais gros sur le coeur.. mais c’est ça qu’il me fallait pour revivre.

Certes, j’ai été abattu quelques temps, il y avait un vide à la maison, mais je n’avais pas envie de retrouver un mec de suite… je décidais de partir en vacances, il me restait des RTT à prendre… j’ai donc cassé ma tirelire… je suis allé dans une agence, et écouté les conseils du jeune mec qui vantait ses vacances clés en mains… c’est en me parlant du sultanat d’Oman que j’ai été attiré.. un voyage pour découvrir le pays en groupe de 12 personnes, avec bivouacs dans le désert… je pris donc cette option et trois semaines plus tard je m’envolais direction Oman. Seul.

Nous avons atterri à Mascate… différence de températures rapide… mais tout était magnifique.. nous étions 12 français, des couples et enfants, et moi. Nous avions un guide qui parlait le français. Il nous a fait découvrir la ville, et notre logement pour deux nuits… un palace… Ce fut un séjour très agréable et une visite inoubliable… mais le plus merveilleux arrivait.

Pour lire la suite, ... >>> C'EST ICI !

15 août 2023

Esteban, Partie 2

Le lendemain après-midi, Miguel est parti travailler. Dehors, le soleil tape aussi fort que la veille. Esteban est encore tout nu. L’autre ouvrier frappe à la porte pour demander un grand verre d’eau pour étancher sa soif.

L’autre ouvrier est un arabe, le même âge que le black de la veille, bien gâté par la nature. Esteban fait entrer l’arabe. Ils vont devant le placard des verres. Esteban balance une jambe sur le côté pour la poser sur le plan de travail. L'arabe regarde Esteban. Il est surpris de la grande souplesse du gamin.

Tout comme pour son collègue ouvrier black de la veille, l'arabe raisonne qu'étant bien hétéro, il peut aussi s'amuser un peu. Il ouvre le zip de son jean, il sort son sexe déjà bien bandant, et en rien de temps, l'arabe crache dans sa main et étale la salive sur l'anus. Il pénètre avec ses vingt-trois centimètres Esteban doucement mais sûrement. Esteban ne dit rien. Il laisse faire son nouvel ami du jour. Esteban encaisse bien les assauts virils du rebeu. Au bout d'un bon quart d'heure, le rebeu s'enfonce à fond et s'immobilise pour déposer toute sa semence épaisse. Le rebeu se retire. Dans la minute qui suit, le rebeu place sa bouche à la sortie de l'anus et récupère son jus pour ensuite le laisser couler dans la bouche d'Esteban. Esteban avale ce cadeau.

Esteban prend le grand verre dans le placard, fait couler l'eau du robinet et le donne au rebeu. Le rebeu boit son verre d'eau et repart travailler dehors.

Le soir, Miguel revient de son travail exténué. Il demande à Esteban si les ouvriers ont bien travaillé dehors. Esteban répond qu'il n'a qu'à regarder lui-même par la fenêtre. Esteban ne comprend pas bien le sens de la question de son père. Esteban s'interroge de savoir si cette question est à double lecture. Esteban, en se creusant les méninges, constate que ce sont les mêmes ouvriers qui s'occupent de la pelouse et des haies entourant la propriété.

Le lendemain, le black et le rebeu reviennent avec la facture des deux jours de travail. Sur cette facture, deux fois trois heures ont été comptées. Le chiffre du total écrit sur ce document indique un prix inférieur à la hauteur de quinze pour cents de ce qu'il se fait ailleurs. Les ouvriers, ayant eu connaissance de la situation financière de Miguel, ont consenti à cette remise exceptionnelle, sans évoquer la vraie raison.

Miguel paye cette facture, et les remercie très chaleureusement de ce geste.

Vous pouvez retrouver la Partie 1, ... ICI !!

31 juil. 2023

Esteban, Partie 1

Un jeune garçon, Esteban, tout juste majeur, type hispanique reste chez lui. Miguel, son père, électricien, va travailler à l'autre bout de la ville pour ramener de quoi payer ses factures de maison. Miguel a mis sa femme dehors depuis qu'il l'a surprise à ramener d'autres hommes à la maison dès qu’il a le dos tourné.

Il fait chaud. C'est l'été.

Dehors, un ouvrier tond la pelouse et un autre taille la haie. Esteban est à l'intérieur, tout nu et semble pas farouche du tout.

L'un des ouvriers, un black d'une bonne quarantaine d'années, a soif car dehors il fait chaud. Il frappe à la porte de la maison.

Esteban vient ouvrir la porte à l'ouvrier sans cacher son anatomie. L'ouvrier, nu sous sa salopette à bretelles, vient demander gentiment un grand verre d'eau fraîche. Esteban inspecte avec grande attention l'ouvrier et décide de lui donner satisfaction. Il fait rentrer l'ouvrier. Ils se dirigent ensemble vers la cuisine. Devant l'évier, Esteban lance une jambe sur le côté pour atteindre le plan de travail. En essayant d'attraper le bouton de porte du placard au-dessus de l'évier, il offre à l'ouvrier un spectacle qu’il ne peut oublier. Esteban prend son temps et réussit à saisir un grand verre et le remplit au robinet.

L'ouvrier se mouille les lèvres et joue avec son entrejambe. Il se dit qu'un peu de bon temps, ça ne peut pas faire de mal.

Ni une, ni deux, il ouvre le zip de sa tenue de travail et sort une bite ogivale de vingt deux centimètres de longueur et épaisse. Il s'approche d'Esteban par derrière, bite en avant. Il s'agenouille, crache sur l'anus serré du gamin, le pénètre sans trop de difficultés, et commence son travail.

Le gamin ne moufte pas. Au bout de quinze bonnes minutes de travail acharné, l'ouvrier explose tout ce qu'il peut à l'intérieur du gamin. Il ressort quelques instants après.

L’ouvrier remet son outil en place dans sa salopette, boit son verre d'eau. Juste avant de sortir, l'ouvrier donne une petite claque sur les fesses du gamin en disant qu'il sait recevoir les ouvriers, et sort dehors pour finir son travail.

Le soir venu, Miguel rentre du travail. Il demande à Esteban si son après-midi s’est bien déroulée. Esteban répond par un oui. Miguel regarde autour de lui. Rien n’a bougé. Il peut alors faire confiance à Esteban et décide qu’il peut le laisser seul à la maison dans l’avenir.

À SUIVRE...

5 juin 2023

Sur les quais

Très tard, la nuit est en train de tomber, Alex traîne sur le quai de la gare. Il semble chercher quelque chose de spécial. Il baisse l'arrière de son pantalon pour montrer ses fesses à qui voudra bien s'intéresser à lui. Il n'a pas remarqué, bien qu'habitué, que le quai est surveillé par des caméras.

Tout à coup, une voiture s'arrête sur le parvis de la gare. Un homme costaud en descend. Il passe par le petit portail qui sert de porte d'arrivée des voyageurs. Sans bruit, cette silhouette s'avance vers Alex. D'un coup, Alex sursaute quand il sent une main virile qui se pose virilement sur son épaule, et se retourne. C'est Jordan, le policier avec qui il a eu affaire il y a quelque temps.

Alex se perd en excuses. Jordan demande à Alex s'il a sa carte d'identité sur lui. Jordan se tourne vers les caméras pour faire un signe de croix avec ses bras afin que les opérateurs vidéos suspendent la surveillance pendant une bonne vingtaine de minutes environ. La petite led rouge devient alors fixe avant de s'éteindre.

Jordan ouvre son pantalon, baisse son boxer, agrippe Alex par le bassin. Jordan demande si c'est ça qu'il veut. Alex répond par un grand OUI. Alors, Jordan s'allonge à terre, adossé à la petite cahute sur le quai. Jordan est en érection maximale. Alex se met en action. Il chevauche les vingt centimètres épais de Jordan. Il presse Alex d'activer le mouvement pour le faire jouir et qu’il ne faut pas que les caméras viennent à se remettre en marche avant qu'ils aient fini. Alex accélère et serrant un peu son sphincter anal et fait jouir Jordan, qui lui remplit bien le cul.

Alex et Jordan se rhabillent à la hâte, juste à temps avant que les caméras se rallument.

28 mai 2023

Voyage en Tchéquie, Partie 1

J’avais joué à un jeu radio quelques mois auparavant. Un matin, un huissier m'appelle pour m'annoncer que c'est moi qui gagne un voyage d’une semaine en Europe.

Je n’ose pas y croire. Pour me rassurer que ce n'est pas un canular, je lui demande ses coordonnées, pour que je vérifie et que je le rappelle. Effectivement, c’en n’est pas un. Il me confirme le gain.

Plusieurs jours après cet appel, je reçois un billet d’avion par courrier.

Depuis quelque temps, je veux aller visiter la République Tchèque. Je voulais voir les nombreux monuments historiques et culturels, mais aussi la population de Prague.

Le départ approche. Je vérifie si ma carte d’identité et ma carte Vitale Européenne sont encore valides. Il ne faut pas que je ne puisse pas partir à cause de mes papiers non conformes.

Je fais mes valises pour une semaine, dans lesquelles, je mets quatre ou cinq boxers, autant de jockstraps, mon nécessaire de toilette et de rasage, des jeans, des pulls, un pyjama, mon appareil photo avec ma carte mémoire et mon chargeur de batterie.

La veille du départ, je vais voir mon voisin de confiance pour lui dire que je vais m’absenter une semaine, et qu’il ne s’inquiète surtout pas.

Le jour dit, un chauffeur de taxi sonne à ma porte. Il me prend mes valises pour les charger dans le coffre et il m’attend dehors. Je n’ai pas remarqué tout de suite que c’est un beau chauffeur de taxi black. Je vérifie que je n’ai pas oublié d’éteindre une lumière, d’avoir fermé le gaz. Je ferme la porte à clé. Je monte dans le taxi. En chemin, le chauffeur et moi discutons d'un peu de choses banales.

Le taxi arrive à l'aéroport. Le chauffeur black me fait descendre. Il va chercher mes valises dans son coffre et me les remet. Je prends mes papiers, mon billet d’avion et avance vers la porte d’embarquement pour me faire enregistrer. Je progresse dans ces couloirs jusqu’à la dernière salle d’embarquement. L’avion pour Prague se fait annoncer. Je prends mes affaires et je marche vers cet avion.

J’entre dans l’avion. Je présente mon billet. Un des steward me prend par le bras et m’écarte de la file classique. Il me dit que mon billet me place direct en classe “Business”. Ce steward est un joli garçon, la petite quarantaine, latino à la peau bronzée, un accent portugais, brun aux yeux marrons, et bien foutu. Je ne remarque pas de suite, il a une bosse proéminente dans son pantalon. Sur une poche, un prénom “Rafael” est gravé sur une petite plaque. Rafael, donc, m'emmène jusqu'à mon siège pour les deux heures de voyage.

L'avion décolle. Rafael vient me voir et me demande si j’ai besoin de quelque chose en me fixant du regard et en se tâtant l’entrejambe. Il m’offre le choix entre un café ou une autre consommation. Je suis tenté de lui dire que je suis intéressé par autre chose. Il me sourit. Il me propose de le suivre dans un autre coin plus discret de l’avion. Il ne faut pas que je me loupe, le trajet jusqu’à Prague ne dure que deux heures. Rafael me précède de pas trop près jusqu’aux toilettes “Business”. Contrairement à celles de la classe “Éco”, celles de la classe “Business” sont un peu plus spacieuses. Rafael est là, à demi-mou, le pantalon sur les chevilles attendant que je m’agenouille devant lui. Je ne peux que me mettre au travail. J’ouvre la bouche. Je m’applique sans provoquer de bruits douteux qui pourraient éveiller la curiosité des autres membres de l’équipage. J’ai su atteindre son point faible puisqu’en un instant, Rafael m’inonde la gorge avec son jus épais.

Je reviens à mon siège. Rafael m’offre le café et la petite bouteille d’eau pour me rincer la bouche. La fin du voyage se fait annoncer. L’avion amorce sa descente vers Prague.

Le pilote pose son appareil tout en douceur, puis s’immobilise sur le tarmac. Je prends mes bagages. Rafael me demande si j’ai fait un excellent voyage. Je lui lance un regard complice, et je descends de l’avion.

23 janv. 2023

La lope

Un soir, très tard, je me balade dans des ruelles étroites et peu éclairées du quartier. Au détour d’une rue, je vois un jeune mec, typé européen, complètement nu, en baskets et une casquette blanche “à la virgule”. Ce gars se balade, lui aussi. Nous nous croisons une fois. Il n’a aucune gêne à se dépoiler dehors. Je me dis qu’il cherche de la compagnie, dans la façon de se déplacer et à mettre son postérieur bien en évidence. Il passe une seconde fois devant moi. Il me dit se prénommer Marc.

Au loin, des sirènes se font entendre de plus en plus proches. Le deux-tons ne semblent pas du tout effrayer Marc. Ça semble même l’exciter au plus haut point. Je me suis planqué dans un petit coin pour observer ce jeune mec exhib pas du tout complexé. Peu de temps après, une voiture de patrouille sérigraphiée de la BAC passe au ralenti une première fois. Elle ne s’arrête pas. Cinq bonnes minutes passent, une deuxième voiture passe au bout de la ruelle. Trois hommes en descendent. Ils viennent vers ce jeune gars d’un pas très assuré en enfilant leurs brassards “POLICE” orange. Marc se tourne face au mur et écarte les jambes en cambrant bien les reins.

Le premier policier, un black, lui demande à Marc ce qu’il fait là et s’il a une pièce d’identité sur lui. Le jeune répond qu’il a rien sur lui. Le deuxième, un rebeu, lui fait la palpation de sécurité et un troisième policier, un blanc plus âgé que les deux autres, lui, ne fait rien. Il fige les lieux pour que le contrôle ne dérape pas et assure que Marc ne fausse pas compagnie aux flics.

Le black et le rebeu se regardent en se mordillant les lèvres et en secouant leurs engins dans leurs pantalons. Le black ouvre le zip de son pantalon, sort sa grosse et lourde matraque noire de vingt centimètres. Le black fait un deal. Marc a le choix de lui pomper sa bite ou de passer le reste de la nuit au poste pour exhibitionnisme aggravé. Il fait retourner le jeune Marc qui se met aussitôt à genoux. Le black force la bouche de Marc. Le flic rebeu se place derrière Marc, crache sur sa grosse bite de dix-huit centimètres, circoncise et l’enfonce dans le petit cul blanc offert. Marc est en transe. Il a une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Le rebeu sodomise Marc avec vigueur. Le black pousse la sienne dans la gorge de Marc. En deux minutes, la sensibilité du gland du black le fait jouir abondamment en fond de gorge. Le black ordonne maintenant à Marc d’avaler le jus. Pendant ce temps, le rebeu est toujours à l'œuvre dans le cul de Marc. Le cul de Marc est presque chauffé à blanc, tellement le rebeu met du coeur à l’ouvrage.

De ma cachette, je ne peux pas louper une seule miette de ce qui se passe devant mes yeux. C’est la fête dans mon boxer. Je ne peux pas bouger au risque de me dévoiler, et de finir au poste moi aussi.

Le rebeu est sur le point d’exploser. Il se retire rapidement et fait mettre à genoux la petite pute Marc pour recevoir sa faciale d’un soir. Une fois fini, le rebeu fait nettoyer sa grosse bite.

Le troisième flic, celui qui n’a rien fait jusqu’ici, se dit qu’il aurait bien participé à cette petite fête improvisée. Il dit à Marc de rester à genoux. Il sort son sexe et se met à pisser sur le visage de Marc, comme pour pour rincer toutes traces ADN du délit sexuel. Marc est ravi de la tournure de cette soirée.

Marc se relève. Il rentre chez lui prendre une douche bien chaude et se met au lit pour la nuit.

30 déc. 2022

Dépucelage de David

David est un très jeune garçon pas encore pré-pubère qui n’a pas connu ses propres parents. Il est fils unique. Il est élevé par sa grand-mère qui possède plusieurs hôtels-restaurants. Cette grand-mère lui cède presque tout. David vit dans une des chambres d’hôtel.

Un jour, il fait connaissance avec Farid, un serveur du restaurant. Farid est plus âgé que David. Ils sympathisent, jouent, prennent des douches ensemble. Au fil du temps, Farid et David tissent des liens de plus en plus forts, si forts qu’il tombent amoureux l’un de l’autre. Ils jouent à des jeux de “touche-pipi” tous les deux comme deux enfants explorant leurs sentiments sexuels.

Il arrive à David de traverser l’hôtel en très petite tenue pour rejoindre Farid dans son lit les soirs d’orages pour se faire consoler.

Peu de temps plus tard, alors que Farid est sous la douche, David est dans la chambre. Il repère sur la table des revues porno gay très explicites. Farid sort de la douche nu avec sa serviette autour du cou. Il stoppe net et surprend David en train de regarder ces revues. David est émoustillé par ce qu’il voit sur ses images. David demande à Farid s’il veut être sa première fois avec lui. Farid est partant. Farid demande s'il veut faire ça maintenant. David acquiesce. Farid force la bouche de David qui se met à le sucer. David a un peu de mal à sucer tellement Farid est bien outillé. Pendant que David suce, Farid caresse les fesses toutes douces de David. Farid le fait mettre debout et lui demande d’écarter les jambes pour ouvrir l’orifice anal encore vierge de toute pénétration. Farid se penche, lèche et doigte avec attention le jeune anus afin de préparer au forçage qui va suivre. David ne peut plus attendre très longtemps. Farid redemande à David la confirmation de sa demande de dépucelage.

Farid rassure David comme un grand frère. Il va prendre grand soin de lui. Il va le pénétrer en douceur avec ses vingt-quatre centimètres épais, veineux et circoncis enfouis dans un épais buisson frisé. N’ayant pas de lubrifiant classique, Farid décide d’utiliser de la vaseline. Il va chercher le tube dans son armoire de toilette à son étroite salle de bains. Il revient avec le tube. Farid a une gaule d’enfer. Il fait mettre David sur le dos sur le canapé, les jambes en l’air. Farid crache de la salive sur sa bite. Il presse le tube de vaseline et en récupère une grosse noix, qu’il étale en massant, avec sa main gauche, le petit anus vierge pour qu’il s’ouvre. De sa main droite, il se masturbe.

L’instant fatidique arrive à grand pas. David croit être prêt. Il le fait savoir à Farid. Farid présente sa grosse tige à l’anus. Il pose son gland et commence à pousser hyper doucement. L’anus de David sous la pression de Farid cause de vives douleurs avec des sensations de déchirements. L'œillet refuse de s'ouvrir pour accepter le gros calibre. Farid insiste un peu en massant avec deux doigts le jeune sphincter. Farid recrache de sa salive et fait pénétrer un doigt en jouant avec l’anus. Au bout d’un moment, l’anus semble se détendre de mieux en mieux. Farid tente à nouveau de pénétrer David. Farid pousse son gland. Centimètres après centimètres, Farid demande si David va bien. David répond qu’il va bien. Il lui dit que le début est un peu douloureux.

Farid continue régulièrement jusqu’à ce que les vingt-quatre centimètres disparaissent dans le conduit anal. Arrivé au bout, Farid reste un moment pour finir d’ouvrir. David dit qu’il se sent mieux et qu’il a beaucoup moins mal. Farid décide alors d’aller plus loin dans le dépucelage anal. Il demande à David s’il peut commencer la baise proprement dite. Alors, Farid commence à faire coulisser son gros manche épais à l’intérieur. Farid essaie de se retenir du mieux qu’il peut. Farid est très excité du fait que l’anneau sphinterien enserre bien son sexe, ce qui le fait jouir rapidement.

Le point de non-retour est atteint. Farid expulse tout son sperme à l’intérieur de l’intestin de David. Il y reste jusqu'à la dernière goutte et se retire doucement. Farid veille à la bonne fermeture du sphincter sans douleur.

Après plusieurs minutes, Farid et David sont affalés sur le canapé. Farid est en sueur. Il demande comment il se sent. David répond qu’il se sent hyper bien et qu’il est prêt à recommencer. D’ailleurs, il le remercie très chaleureusement de lui offrir sa première fois.

David et Farim s’embrassent sur la bouche tendrement. David regagne sa chambre pour s’endormir avec l’espoir de recommencer cette mémorable baise qui restera dans les annales.

21 déc. 2022

Le défi de Jean-Michel

En plein mois de décembre, Jean-Michel rend visite à son meilleur pote Guillaume pour trois-quatre jours. Jean-Michel émet le vœu de tester seul sa résistance au froid sur le Ventoux. Guillaume demande alors à Jean-Michel s’il est devenu fada. Jean-Michel réitère son vœu.

Guillaume organise, à la dernière minute, une réservation pour une nuitée dans une chambre double à l’auberge au pied du Ventoux. Justement, l’auberge est quasi vide en cette période hivernale. Guillaume a l’embarras du choix. Sur la dizaine de chambres composant l’auberge, deux chambres sont occupées par quatre gendarmes du P.G.H.M. Leur grand 4x4 rallongé est dans la cour, prêt à partir en intervention de secours.

Le surlendemain, Guillaume et Jean-Michel arrivent dans l’après-midi. Ils déposent leurs sacs dans la chambre. Jean-Marc s’habille en conséquence. Il oublie d’informer Guillaume qu’il a mis sur lui, un jockstrap et un maillot de coton blanc à bretelles sous la côte de ski. Par-dessus tout ça, il a un blouson fluo jaune. À ses pieds, Jean-Michel porte des grosses chaussures à crampons.

Jean-Michel embrasse furtivement Guillaume sur la bouche. Il lui dit qu’il va l’appeler quand son périple sera fini. Il part faire sa randonnée à pied. Il a installé sa lampe frontale sur la tête pour éclairer son chemin.

Plus tard, dans la soirée, Guillaume n’ayant pas de nouvelles de Jean-Michel, commence à s’inquiéter gravement. Il commence à se faire un film. Est-il tombé dans un ravin sur le bord de la route ? Est-il aux mains d’un pervers ? … Tout défile dans la tête. Il se résigne à alerter les gendarmes installés dans les chambres à proximité de la leur. Il sort de sa chambre affolé et très inquiet. Il leur dit que son ami Jean-Michel est parti seul effectuer une rando pédestre sur la route vers le Ventoux, et qu’il n’a pas donné signe de vie depuis plusieurs heures. Le gendarme Thierry, qui a ouvert la porte, réveille un de ses collègues. Thierry le rassure qu’il a très bien fait de les alerter. Thierry et son collègue descendent de l’auberge montent dans leur 4x4. Ils font monter Guillaume à l’arrière. Le 4x4 démarre. Le conducteur allume la rampe de lumières bleue et orange.

Au bout de deux bonnes heures de recherches, ils repèrent dans la lueur des phares, le blouson jaune fluo de Jean-Michel à terre sur le bas-côté. Ils s’arrêtent juste avant pour la protection. Thierry et Guillaume descendent du 4x4 et atteignent Jean-Michel. Ils s’aperçoivent que Jean-Michel tremble de partout. Il est en très grande hypothermie. Thierry demande à Guillaume de veiller que Jean-Michel ne s’endorme pas, le temps qu’il sorte le brancard à l’arrière du 4x4. Thierry arrive avec le brancard. Guillaume et Thierry prennent Jean-Michel et le pose sur ce brancard et ne tarde pas à le ramener à l’intérieur du véhicule.

Thierry annonce à Guillaume qu’il va falloir le réchauffer sans traîner. Le gendarme Thierry sort de son sac de secours, déploie une couverture de survie. Thierry suggère à Guillaume de se mettre complètement à poil et de se coller à Jean-Michel sous la couverture de survie. Guillaume ne veut pas perdre son ami. Sans réfléchir, Guillaume obéit au gendarme. Le gendarme Thierry dit au chauffeur installé au volant de démarrer et de redescendre vers l’auberge. Le gendarme se déshabille aussi et se colle à Jean-Michel. La chaleur de Guillaume, collé en peau à peau sur Jean-Michel, le fait monter en érection entre les fesses rasées de son ami. Le gendarme voit que Guillaume bande bien. Il lui dit qu'il a ordre de le pénétrer par le cul. Guillaume obtempère. Jean-Michel a maintenant la grosse bite de Guillaume dans son cul.

Les trépidations du 4x4 qui redescend vers l'auberge fait monter la pression. Guillaume est sur le point d'expulser cette grosse pression.

Thierry voit que Guillaume se retient tant qu'il peut. Il lui dit qu'il peut tout lâcher.

De voir Guillaume réchauffer Jean-Marc de cette manière, lui donne des idées. Thierry, armé de son « arme de sevice », décide de participer au réchauffage express aussi de Jean-Michel. Guillaume sort de sous la couverture de survie et se rhabille. Thierry se place sous la couverture et s'introduit dans Jean-Michel. Thierry n'attend pas longtemps et se libère dans les entrailles de Jean-Michel.

Le chauffeur du 4x4 appelle les deux autres gendarmes restés à l'auberge de descendre car le véhicule est sur le point d'arriver et qu'il vont avoir besoin d'aide pour monter une personne dans sa chambre.

Arrivés à l'auberge, les deux autres gendarmes ouvrent les portes arrières, tirent le brancard hors du véhicule. Ils portent à bout de bras Jean-Michel jusqu'au lit dans la chambre.

Guillaume remercie les gendarmes de l'avoir aidé aux recherches et au sauvetage de son ami Jean-Michel. Le gendarme Thierry dit à Guillaume que c'est leur mission de sauver des vies. Les gendarmes repartent dans leurs chambres un peu plus loin dans le couloir.

Jean-Michel est maintenant réchauffé et hors de danger. Guillaume demande s'il est devenu fou d'être sorti par ce froid de gueux. Jean-Michel lui répond que s'il a fait ça, c'est pour savoir jusqu'à quel point Guillaume l'aime.

7 déc. 2022

Le bodybuilder

Dans une salle de sport aux murs orange et marron, il y a un sexagénaire habitué des lieux qui se maintient en forme après une carrière européenne de plus de vingt années de bodybuilding. Ce sexagénaire n'a aucune honte de montrer son corps vieillissant et glabre. Il se balade en jock usé en synthétique hyper moulant de couleur orange vif.

En fin d’après-midi, arrive un nouvel élève, se présente au guichet d’accueil, Simon, dix-neuf ans, désirant se mettre au sport pour perdre un peu de poids et prendre un peu de muscles. Arrive le coach Tobias, un mec de trente ou trente-cinq ans, un double tatouage tribal autour du bras. Tobias interroge Simon l’objet de sa venue à la salle. Lors d’un petit entretien, le coach récupère des informations (habitudes alimentaires et indice IMC). Tobias questionne le jeune sur son estime de son corps. Il lui explique ensuite que la "norme" vestimentaire de cette salle, c’est le torse nu et port du jockstrap en toute circonstance. C'est inscrit sur le règlement intérieur. Le jeune rouquin dit à Tobias qu’il n’a pas de jockstrap. Tobias lui répond qu’il peut lui en vendre un sans problème. Il lui faut juste sa taille. Tobias évalue en regardant Simon qu’il faut une taille S. Le coach Tobias part à la réserve pour deux minutes et revient à la salle avec un sachet plastique contenant un jockstrap en taille S en main. Il le tend au jeune en lui disant où se trouvent les vestiaires.

Le jeune part aux vestiaires pour se déshabiller. Pendant ce temps-là, Tobias va vers le sexagénaire pour lui proposer de prendre en main le jeune. Le jeune revient, comme stipulé dans le règlement, torse nu et jockstrap. Tobias fait les présentations au sexagénaire qui va s’occuper de Simon.

Le jeune se déplace vers celui qui va le faire souffrir pour se muscler. Le gamin est émerveillé de voir quelqu’un encore bien fait à son âge. Il demande pourquoi le jockstrap doit être porté dans cette salle.

Le sexagénaire répond qu'il le saura bien assez tôt. Il lui tend une corde à sauter et lui demande de sauter pendant dix minutes. Puis, le sexagenaire lui demande de le suivre jusqu’au tapis de marche. Il fait monter Simon sur la machine et programme une marche rapide de dix minutes. Simon commence à suer à grosses gouttes. Au bout de cette série de dix minutes, le sexagénaire demande à Simon de faire dix squats bien faits bien au-dessus de lui en précisant bien qu'il ne doit pas s'arrêter de "squatter" sous aucun prétexte que ce soit, le regard fixe devant soi. Le vieux s'allonge à terre. Simon fait ce que le vieux demande. C'est au sixième squat, que le gamin sent le nez du sexagénaire frôler son sillon interfessier légèrement velu.

Du huitième au dixième squat, le gamin sent une langue.

Après cette série de squats executés, le vieux libère Simon de cette première séance de torture. Il l’invite à aller se doucher. Simon part à la douche.

Tobias vient aux nouvelles auprès du sexagénaire. Le sexagénaire informe Tobias que le jeune écoute bien ce qu’on lui dit et il mérite de bien progresser.

30 oct. 2022

Le contrôle d'identité d'Alex

Alex rentre chez lui, à pied, depuis la gare. Il était allé voir quelqu'un plus tôt dans la journée. Une voiture de police s'arrête à côté de lui. Alex commence à s'inquiéter. Le policier, passager de cette voiture, descend. C'est un beau policier, musclé de partout, tête rasée. Une oreillette avec un fil sort de sa tenue. L'agent de police dit à Alex de ne pas s'inquiéter, ce n'est qu'un simple contrôle d'identité. Alex sort sa carte d'identité de son portefeuille. Il la tend au policier.

Le policier remarque que la date de validité est dépassée de quelques jours.

Voulant faire un peu de zèle, le policier fait monter Alex à l'arrière du véhicule pour une vérification au poste de police.

L'agent emmène Alex dans son bureau, affiche la pancarte « NE PAS DÉRANGER, EN AUDITION », et ferme la porte. Alex se retrouve seul avec le policier, qui retire son gilet pare-balles, range son arme de service dans le tiroir fermant à clé.

La chemise de l'agent est trop juste pour contenir des pecs très bien musclés. Alex remarque aussi que cet agent possède une arme discrète et puissante entre ses cuisses.

Le policier tape le nom inscrit sur la carte d'identité avec le clavier de son ordinateur dans le fichier de l'administration. Il ressort sans incident. L'agent lui fait la leçon de la nécessité de faire le renouvellement de cette carte dans les plus brefs délais, sans quoi, il ira frapper à sa porte pour régler le problème.

Peut-être une semaine après cette arrestation, Jordan se rend encore une fois chez Alex, tard le soir, après son service. Jordan rentre chez lui en tenue de service.

Il sonne avec insistance. Alex fait entrer Jordan.

Jordan demande s'il a fait les démarches auprès de l'administration pour le renouvellement de la carte d'identité. Alex répond qu'il a oublié. Il explique que sa mère est parfois insupportable, et demande des efforts chronophages.

Jordan se fâche. Il déboutonne son pantalon et sort son arme secrète de son étui. Alex est contraint de baisser son pantalon et son boxer.

Jordan se place derrière Alex. Il lui immobilise les deux mains dans le dos, met sa bite au bord du trou et pousse entièrement, commence à faire des va et vient. Jordan gueule à Alex : "Tu vas les faire, tes papiers!" tout en le cognant avec virilité.

Alex sent bien les 18 cm passer.

Alex promet à Jordan qu'il ira à la Mairie pour ses papiers dès le lendemain. Jordan est aux anges. Tout à coup, Jordan ne se sent plus, il jouit abondamment dans les fesses de Alex.

Jordan se retire. Jordan annonce en remettant son pantalon qu'il passera la semaine suivante pour vérifier s'il a le récépissé de dépôt de dossier.

Jordan sort de la maison et repart chez lui.

Alex est en sueur. Le jus de Jordan coule à terre. Alex est obligé de nettoyer. Pendant qu'il nettoie, Alex se dit qu'il va faire exprès d'oublier pour se faire cogner encore une fois.